Związek, Jan2022-12-152022-12-151988Częstochowskie Studia Teologiczne, 1987-1988, T. 15-16, s. 205-216.0137-4087http://theo-logos.pl/xmlui/handle/123456789/2414La problématique concernant la condition de la paysannerie dans la IIe moitié du XVI siècle et dans la I moitié du XVII siècle était l’objet d’études dans la littérature historique polonaise ces dernières dizaines d’années. Cependant on n’analysait pas jusqu’à présent les opinions là-dessus du père provincial des paulins polonais, Andrzej Gołdonowski, vivant à cette époque-là. Il acceptait, de même que les autres auteurs de l’époque, le système social existant. Il revendiquait très énergiquement les droits des paysans. Il déterminait aussi les devoirs de la noblesse vis-à-vis des paysans. Ce prédicateur paulin blâmait la folâtrerie et les abus de la noblesse auprès des paysans. Le propriétaire doit aimer ses sujets et nommer des justes employés. La labeur aux champs du propriétaire et à leurs propres champs — c’était le devoir des paysans. Chaque paysan-fermier devait se soucier des affaires de Dieu et de l’Eglise, de sa propre âme et de sa famille. Le paysan devait éduquer au moins l’un de ses fils. Devant Dieu chaque paysan était égal à son propriétaire.plAttribution-ShareAlike 3.0 Polandhttp://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/pl/Andrzej GołdonowskichłopiPolskapańszczyznaspołeczeństwoXVI w.XVII w.historiaspołeczeństwo klasowekaznodziejekaznodziejstwoKościółBógKościół katolickirodzinapracasocietyhistorypreachingpreachersChurchGodCatholic ChurchfamilyworkPolandclass societyArticle