Kowalski, Jan2022-10-172022-10-171999Polonia Sacra, 1999, R. 3 (21), Nr 4 (48), s. 93-100.1428-5673http://theo-logos.pl/xmlui/handle/123456789/1499La Banque mondiale et le Fonds monétaire internationel sont l’objet de critiques nombreuses. Tandis qu’ils ne sont les seuls responsables ni de leurs réussites réelles ni de leurs echecs constatés. La Banque mondiale ne s’angage qu’avec parcimonie. Elle ne finance jamais plus de 30% d’un projet. Elle ne réaménage jamais les échéances. Sa réputation de sérieux perment d’attirer d’autres contribiteurs. Le resultat d’un prêt bancaire ne dépend pas exclusivement du banquier. Le banquier fournit de l’argent qui est le sacrament de la liberté économique. Et le développement engage tout l’homme et tous les hommes qui exercent leur liberté à l’intérieur d’institutions toujours à parafarne. Le Fonds Monétaire International à deux objectifs. D’abord servir de caisse de crédit mutuel pour faire face aux déséquilibrés momentanés de balances des paiements des pays membres. Ensuite, assurer la stabilité des changes, c’est à dire de la valeur des monnaies les uns par rapport aux autres. L’opacité qui entoure le travail des banquiers mondiaux et les dérives parfois constatées ne doivent pas faire oublier leur rôle essentiel. Rôle difficile: dans l’appréciation des capacités humaines, les institutions, les réglementations et la politique troublent nécessairement le jeu.plAttribution-NonCommercial-NoDerivs 3.0 Polandhttp://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/3.0/pl/sobór laterański IImoralnośćekonomiahazardekonomia światowaBank ŚwiatowyMiędzynarodowy Fundusz MonetarnyfinansecouncilSecond Lateran Councilmoralityeconomicsgamblingworld economyfinancesobóretykaethicsDziałalność Banku Światowego i Międzynarodowego Funduszu Monetarnego. Aspekt moralnyFonctionnement de la Banque mondiale et du Fonds monetaire international. Aspect moralArticle