„Nowe grzechy” a nowa ewangelizacja

Abstract

La doctrine du péché a une longue histoire dans la tradition judeo-chrétienne. Le péché est toujours actuel. Mais dans une environnemnet en transformation constante, la conscience du péché et de la faute a évoluée. Dans la situation dans laquelle nous vivons, les modalités de l'accomplissement personnel déterminent les conditions de notre rélation à Dieu et aux autres. Ainsi, tout ce qui est neuf dans notre société définit les champs où notre responsabilité est engagée. Fondamentalement il n y a pas des nouveaux péchés, car ce qui est en jeu c'est toujours la rélation à l'autre. Mais il y a des domaines plus sensibles à notre epoque. Q y a des „nouveaux péchés” parce qu'il y a ime prise de conscience nouvelle de nos responsabilité, notament dans les relations Nord-Sud. Notre époque marquée par l'individualisme accepte de plus en plus la méditation du prêtre dans le sacrament de pénitence. Malgré tout il exerce son ministère, bien sûr, à l'Eglise, car toute demarche de conversion est liée à la communauté chrétienne. C est par ce meditation de l'Eglise, voulue par Jésus, et qui devient lieu ou se poursuit son action dans l'histoire, que le pénitent peut accueillir la grâce de la réconciliation. Si le psychologue a pris le relais du prêtre dans les cas de pathologie et dans le conseil psychologique, l'Eglise est seule à pouvoir apporter le don de la réconciliation, ce témoignage concret de l'Amour de Dieu. Quand on parle du péché il faut redonner son veritable sens „d'obligation”. C'est librement et volontairement, à la différence des animaux, que l'homme s'engage, se lie, s'oblige à agir dans une certaine direction an suivant certaines direction en suivant cartaines valeurs. C est un acte de liberté, une liberté qui doit s'engager sinon elle tombe dans l'arbitraire ou le conformisme. Quoi qu'il en soit, il faut insister sur la miséricorde de Dieu plus que sur l'interdit.