Częstochowskie Studia Teologiczne, 1983, T. 11
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Pozycja Nauka społeczna biskupa Teodora KubinyKowalski, Jan (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1983)Vers la fin l’an 1931 l’Université Jagiellonnè a’Cracovie octroie la doctorat „Honoris causa” au premier évêque de Częstochowa Theodore Kubina pour sa multiple activité sociale. Il commence son activité encore comme etudiant de l’Université romaine „Gregorianum”. Il y met au point la defense de l’homme, sa dignité et ses droits fondamentaux et inaliénables, co qui se resume dans sa devise épiscopale „J’ai pitie de cette foule” (Mt 15.32). On peut dire en vertu de son héritage d’écrivain que la vision do l’homme que possède l’évêque Kubina converge à l’anthropologie chrétienne élaborée par le Concile Vatican II et proclamée par Jean Paul II. L’homme est une créature divine à la ressemblance de Dieu, racheté par Jésus-Christ, destiné au Royaume de Dieu. Les droits fondamentaux inaliénables lui appartiennent. L’évêque Kubina ne debat pas ces droits en détail et systématiquement. Néanmoins il mentionne chacun d’eux, surtout en montrant la situation tragique des innombrables foules des trente ans de notre siècle. Selon l’évêque Kubina cette tragique situation économique et sociale vient du système capitaliste, blesse la dignité de l’homme et viole ses droits inaliénables. Mais il ne voit le salut ni dans le socialisme ni dans le communisme. Le capitalisme lui paraît comme „un systèm e économique dont le mot d’ordre est la plus grande production, illimitée et non contrôlée, qui fait usage du plus grand capital, entasée dans les mains d’une petit nombre et qui dans son activité est dirigé seulement par l’envie du gain. (Theodore Kubina, Kościół wobec zagadnień dzisiejszego kryzysu gospodarczego) (L’Eglise envers le problèm e de la crise economique de nos temps), (Włocławek 1932). La mission de l’Eglise c’est la défense de la dignité de l’homme destiné au salut. A cause de cela les questions economiques et sociales du monde et de l’homme ne peuvent pas être indifferents pour elle. Quand même, selon l’évêque Kubina, L’Eglise ne peut ni directement entrer dans la vie économique ni sa doctrine ne renferme pas un concret système catholique économique et social. (T. Kubina, Akcja Katolicka a akcja społeczna) (L’action catholique et l’action sociale) (Poznań 1930). Par contre l’Eglise propose des principes éthiques qui prennent leur source dans la Révélation Divine et dans la nature humaine. Ils doivent inspirer la vie économique et sociale. Le principe le plus important c’est l’amour social, qui est ne de l’Eucharistie formait la base de la première chrétienne commune de Jérusalem. En elle tous étaient un coeur et une âme, car „nul considérait comme sa propriété quelconque de ses biens, au contraire ils mettaient tout en commun”. (Ac. 4, 32). L’évêque Kubina n’omet pas non plus l’importance du culte de la Mère de Dieu. Pour lui Marie est „le plus fort abri et la garantie des droits de l’homme, de sa haute charge, de sa dignité et de sa liberté. Comme la Sainte Vierge Maria, chaque homme doit être l’enfant de Dieu, l’enfant libre, doit être collaborateur de Jésus-Christ, dans la restauration du monde et de l’homanité, dans la création du Royaume de Jésus-Christ sur la terre ” (T. Kubina, W obronie czci Matki Bożej (En defense de l’honneur de la Mère de Dieu)), Niedziela 12: 1937 pages pares page 454). Tous les gens exception sont responsables de la réalisation du royaume social appuyé sur la sociale éthique chrétienne et sur l’amour social. Surtout le clergé. A cause de cela il doit être instruit, selon l’évêque Theodore Kubina, dans les centres universitaires. Car l’université enseigne la chrétienne universalité, oui fait sensible aux problèmes sociaux, surtout à la dignité de l’homme et à ses droits inaliénables.