Częstochowskie Studia Teologiczne, 1981-1982, T. 9-10
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Pozycja „Matrimonia mixta” w schematach nowego prawa małżeńskiegoPrzekop, Edmund (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1982)Le postulat du Concile pour reformer les prescriptions juridiques concernant le mariage mixte a provoqué la publication de quelques documents dans lesquels le Siège Apostolique a refait à fond les prescriptions de cette loi, Le nouveau règlement dans le domaine du mariage mixte a été traité dans les travaux des deux Commissions Papales pour la Réforme du Code de Droit Canonique de l’Eglise Latine et aussi des Eglises Orientales catholiques. Quant à l’Eglise Latine, les prescriptions mentionnées sont dans le code nouvellement fait en 1980, dans la section „De matrimoniis mixtis” (can. 1078—1083), et attendent l’approbation du Pape. Les prescriptions analogiques pour les Eglises Orientales Catholiques sont dans le schéma de 1980 „De cultu divino et praesertim de sacramentis” faisant partie du document intitulé „De matrimoniis cum non catholicis” (can. 148—151). Malgré que les deux documents n’aient pas encore la valeur juridique, néamoins on a essayé de présenter dans cet article, en se servant de la méthode comparative, les décisions qui ont été prises dans les deux Commissions Papales afin de montrer aux lecteurs la possibilité de voir ce que seront, après la réforme, les lois du mariage mixte dans les Eglises Catholiques de tradition latine et orientale. A présent, la loi qui est en train de naître est groupée autour des points suivants: la nature du mariage mixte, l’interdiction du mariage mixte, les conditions de lai dispense (causae canonicae et cautelae), la forme juridique du mariage mixte, le soin pastoral du mariage mixte et son assainissement (sanatio in radice). Après avoir étudié tous ces points on peut constater que la discipline ecclésiastique concernant le mariage n’est pas uniforme dans les deux schémas. Les différences viennent de la diversité des sources qui formaient cette discipline et elles ne sont pas essentielles, ne se rapportant qu’ à la célébration du mariage.Pozycja Skutki przynależności do obrządkuSkubiś, Ireneusz (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1982)L’appartenance au rite, ainsi que le changement de celui-ci, implique les conséquences juridiques. Le changement du rite, c’est-à-dire, quand on change de rite pour toujours, non pas temporellement, ou quand on doit se soumettre à un autre rite par les circonstances. Voilà les conséquences dûes au changement du rite: 1) Acquisition d’une nouvelle communauté rituelle. 2) Passage sous la juridiction d’une autre hiérarchie. 3) Devoir de se soumettre aux lois particulières de la nouvelle communauté dans les domaines disciplinaires et liturgiques. La nouvelle communauté rituelle, dans le decret du concile „Ecclesiarum Orientalium” est appelée l’église particulière, c’est-à-dire, le rite. Èn parlant de cette communauté, le législateur ne se rapporte pas seulement à celle qui, a la même liturgie mais aussi à celle qui a les mêmes principes et la même discipline. Il est interdit de changer arbitrairem ent la communauté. L’Eglise désire que les fidèles gardent la fidélité au passé juridico-canonique, à l’histoire, à la culture et aux coutumes que la communauté rituelle a, créés tout au long des siècles. Les papes défendaient toujours la pureté du rite et la fidélité à ses propres habitudes et à son histoire. A la lumière des derniers documents du Vaticanum II, on peut dire qu’il existe assez souvent une liaison directe entre la communauté rituelle et la nation. Il faudrait aussi rem arquer que le rite, c’est-à-dire l’eglise particulière, a certains traits qui avaient une grande importance après Vaticanum II. Ce sont: a) l’égalité du rite b) le personnalisme et l’autonomie. Quant au changement du rite, il faut souligner que dans cette situation le fidèle passe sous la juridiction de la nouvelle hiérarchie ecclésiale. Chaque rite, étant l’église particulière, a sa propre hiérarchie. La différenciation hiérarchique est dans les rites au sens canonique. A cette occasion, il faut mentionner le principe de la territorialité et de la personnalité de la loi. Dans l’Eglise le principe de la territorialité est en vigueur, mais en parlant du rite il ne se vérifie pas. La loi rituelle a le caractère personnel d’où naît un problème très difficile et très compliqué, à savoir, celui du travail pastoral pour les fidèles de différents rites, habitant le même territoire. Pour résoudre ce problème, on crée de nouvelles paroisses et diocèses de différents rites, et, de meme de nouvelles hiérarchies de ceux-ci. Aucune église particulière ne pourrait se passer de sa propre hiérarchie. La troisième conséquence du changement du rite est le devoir de se soumettre à la loi particulière de la nouvelle communauté dans le domaine de la discipline et celui de la liturgie. La loi particulière se compose de certains éléments communs pour les autres rites et de ceux qui sont propres au rite donné. L’élément principal est toujours celui de l’unité de la foi et de la moralité chrétienne. C’est le pape qui garde d’une maniéré bien particulière l’unité et l’infini de la foi et de la moralité. C’est à lui, a son appréciation appartiennent non seulement les problèmes de la foi et des coutumes mais aussi les problèmes de la discipline et de la conduite de l’Eglise universelle. L’histoire montre que les papes donnaient des ordres disciplinaires concernant les églises particulières. Et, cela se rapporte surtout aux problèmes liés à la discipline des sacrements. A cette occasion, il faut remarquer que le Siège Saint se donnait du soin pour que les catholiques du rite oriental n’abandonnent ni leurs propres form es liturgiques, ni la discipline. C’est Pie XII qui a mis de l’ordre dans certains dom aines de la loi des Eglises Orientales et sesquatre motu proprio règlent plusieurs problèmes de ces Eglises On peut définir la codification de Pie XII comme „ius commune” des Eglises Orientales. La commission papale, créée par le pape Paul VI pour reviser le code canonique de la loi orientale, devrait présenter son opinion. Il faut encore ajouter à ces éléments juridico-canoniques le problèm e de particularités liturgiques qui existent dans chaque églisee particulière, c’est-à-dire, dans chaque rite. Le fidèle qui vit dans un rite doit se soum ettre à son rite liturgique. L’Eglise prenait soin pour que les fidèles, les évêques et les prêtres en particulier se tiennent a un seul rite; ce qui est lié au problème de biritualism e sur le territoire polonais.