Częstochowskie Studia Teologiczne, 1977, T. 5
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Pozycja Elementy konstytutywne biblijnego powołaniaGrzybek, Stanisław (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1977)Die Idee der Berufung, dargestellt in den Büchern der Heiligen Schrift von Autoren, die dergöttlichen Eingebung folgten, gehört zu den zentralen theologischen Ideen in der Bibel. Diese Idee gewinnt eine besondere Bedeutung im Zusammenhang mit der Heilsgschichte, die vom II. Vatikanischen Konzil hervorgehoben wurde. Um die Idee der Berufung zu verstehen, muß man zuerst dem Inhalt solcher Wörter nachgehen wie „beraufen” und „auserwählt”. Das Alte Testament gebraucht für „Beraufung” das Wort „qara”. Dem Letzteren entspricht in der LXX der Ausdruck „kalein” = einberufen, aufrufen, versammeln. Für die Bezeichnung der Auserwählung, steht dagegen das Wort „bachar” = „jemanden oder etwas auswählen”. Fast an allen Stellen, wo das Wort „qara” auftritt, hat es die Bedeutung von jemanden zu sich einladen”, um ihn an sich zu binden. Es ist eine Art Auszeichnung, die konsequenterweise zu einer vollkommenen Vereinigung des Berufenen mit Gott führt. Die Bibel kennt verschiedene Arten von Beraufung: z.B. die Berufung einer Gemeinschaft, des ganzen Volkes Israel oder die individuelle Berufung, z.B. die Berufung Moses’, Abrahams, Jesajas, Jeremias, Matthäus, Petrus, Johannes’ oder Paulus. Alle diese Einladungen und Berufungen legen einen besonderen Nachdruck auf das Element der Mission, des Auftrags in der Berufung. Jeder Berufene ist eben berufen, einem bestimmten Auftrag zu erfüllen. Um die Berufung verständlich zu machen und auch, um die Realisierung des Auftrags zu sichern, steht die Berufung oft in Verbindung mit bestimmten Zeichen, Wundern oder Theophanien. Gott offenbarte sich den Berufenen, um sie von der Wirklichkeit seines Aufrufs zu überzeugen. In der Berufung ist das Moment der Unentgeltlichkeit zu unterstreichen. Gott verleiht die Gnade der Berufung ohne die Verdienste und Eigenschaften dessen zu berücksichtigen, den er beruft. Der Berufene ist sich dessen bewußt, daß ihn die Gnade Gottes begleitet, und daß jene Gnade ihm hilft seinen Auftrag zu erfüllen. Es gibt keine Berufung ohne Mission. Der Berufene muß wissen, daß seine Bemühungen nicht immer wirksam sein werden, aber er darf nicht aufgeben. Mit dem Berufenen ist Gott; Gott hilft ihm und leitet all sein Tun.Pozycja Miejsce i rola Maryi w tajemnicy ekonomii BożejKrupa, Andrzej (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1977)L’Auteur présente le probléme du salut, accompli par le Fils de Dieu, qui se montre comme le mystère l’économie de Dieu comme l’histoire du salut. Le salut, qui se réalise dans le monde, constitue l’essentiel de la religion chrétienne dont le Christ et le centre. Lui, il a accompli le salut en lui-mȇme, dans son Corps individuel, pour le continuer dans l’Eglise, qui est son Corps mystique. La salut vu en Dieu est, par sa nature, l’oeuvre de l’amour et en mȇme temps l’oeuvre de la Miséricorde de Dieu. Le Christ est la seule source du salut comme Dieu - Homme qui pour nous sauver a pris le corps de Marie en devenant son fils et elle, sa mère. Sa maternitȇ ne s’adresse qu’ à Lui mais aussi à tous les hommes. C’est a elle que Dieu a donné le charisme particulier de la servitude maternelle dans l’édification de l’Eglise. Exercant sa vocation de la servante et de la mère elle est devenue la Mère de l’Eglise. Le mystère de Marie ne peut ȇtre connu et défini qu’en liaison avec les mystères du Christ surtout avec ceux de l’incarnation et du salut. Le culte de Marie, aussi doit ȇtre exercé en liaison avec le culte du Christ. C’est dans le Christ qu’il prend son commencement et dans Lui il trouve son efficacité. L’Eglise ne vénère la Sainte Marie qu’en l’imitant et en servant, comme elle, au mystère du salut.Pozycja Urzeczywistnianie się Kościoła w małżeństwieZuberbier, Andrzej (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1977)Le mariage se constitue à l’Eglise. Le sacrement du mariage c’est le lien conjugal contracté entre baptisés. Mais le procès inverse a aussi lieu: c’est dans le mariage chrétien que se réalise l’Eglise. Le présent article est consacré à des réflections à ce sujet. La Bible place le mariage dans le courant de l’histoire du salut. Institué par le Créateur lui-même il date des débuts de l’humanité. Devenant le sujet des bénédictions il se dans sa féconrité à l’attente du Messie La Bible présente le mariage en même temp que ses valeurs personnelles: l’amour, le dévouement, la fidélité. Ciest grêce à ces valeurs personnelles que le mariage devient le lieu et le facteur de la réalisation de l’histoire du salut. Le salut apporté par Jésus-Christ, tout en embrassant l’homme dans toute sa personnalité et en revendiquant tout son coeur, toutes ses forces et ses pensées, embrasse aussi ce lien fondamental et interpersonnel qu’est le mariage. La Constitution Gaudium et spes s’exprime au sujet de l’amour conjugal, pareillement à la manière dont se prononce la théologie sur la nature de l’homme: „Cet amour, par un don spécial de sa grace et de sa charité, le Seigneur a daigné le guérir, le baptisés et agit par son témoignage, ainsi se réalise-t-elle dans le mariage et dans la famille chrétenne et agit par l’entremise de leur témoignage. C’est aux chrétiens qu’appartient la triple fonction du Christ, mais cette possession n’est pas uniquement individuelle, elle appartient aussi aux chrétiens mariés — à la famille. „La famille chrétienne proclame hautement à la fois les vertus actuelles du royaume de Dieu et l’espoir de la vie bienheureuse ... Par son exemple et par son témoignage elle est la condamnation du monde pécheur et la lumière pour ceux qui cherchent la vérité” (Lumen gentium 35). Ceci ne signifit-il pas que les chrétiens mariés et la famille constitueut l’élément composant de l’Eglise et d’après la Constitution Lumen gentium «l’Ecclesiam domesticam» (11)?