Częstochowskie Studia Teologiczne, 1978, T. 6
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Pozycja Kształtowanie się definicji Kościoła w pismach św. Roberta BellarminaŁydka, Władysław (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)On à souvent affirmé, que s. Robert Bellarmin était l’auteur de la conception juridico — institutionnelle de l’Eglise et que son enseignement sur l’Eglise avait trouvé une expression synthétique dans la définition de l’Eglise. Afin de pouvoir apprécier ces affirmationis avec justesse, l’auteur entreprend de démontrer avec précision, comment la définition de l’Eglise s’est-elle formée dans les écrits de Bellarmin. Il analyse, pour commencer, les essais de définition de l’Eglise, entrepris à l’époque qui précéda renseignement de s. Robert. Bien que le problème de la définition de l’Eglise ne soit devenu pressant qu’à l’époque de la Réformation, l’on avait formulé, au Moyen-Age déjà, des définitions, un peu vagues cependant, comme „corps du Christ” et „rassemblement des fidèles”. Dès le début du XIV siècle, on essaya de définir l’Eglise sous son aspect juridique, hiérarchique et socio-institutionnel; ces essais avaient pour but la défense du pouvoir papal et de la structure visible et institutionnelle de l’Eglisse. De là aussi la tentative d’accentuer dans ces définitions le caractère hiérarchique et visible de l’Eglise. Diverses significations du terme même „Ecclesia” furent rassemblées et classées jusqu’à la moitié du XVI siècle. Ce fut aussi l’époque où l’an commenca à définir l’Egilse sous un aspect plus large — comme une communauté de tous les croyants „depuis Abel le Juste”. C’est alors aussi que l’on a formulé une définition de l’Eglise prise au sens strict, avec énumération de ses éléments, aussi bien extérieurs qu’intérieurs, L’époque de l’inauguration du concile de Trente fut aussi celle des efforts plus intensifs de définir l’Eglise d’une facon plus précise. Pour faire face aux conceptions protestantes de l’Eglise invisible, les théologiens icatholiques avaient commencé à omettre dans leurs définitions, l'énumération des éléments invisibles de l’Eglise, tout en accentuant exclusivement presque, les éléments visibles — institutionnels. L’auteur présente ensuite la nature de l’Eglise d’après Bellarmin, ainsi que les buts concrets qu’il visait dans la formation de la définition de l’Eglise. Il montre, que saint Robert était parfaitement conscient de toute la richesse de la doctrine révélée sur l’Eglise, et qu’il faisait ressortir dans ses écrits tant les éléments intérieurs qu’extérieurs de l’unité de l’Eglise. Il importait surtout à Bellarmin, que la définition s’opposât aux erreurs des protestants et de certaines sectes plus anciennes encore. C’est pourquoi il analyse tout d’abord des opinions erronées et, en forme de réponse, il cite ensuite sa définition, tout en accentuant les éléments visibles de l’Eglise, rejetés par les hétérodoxes. En ce qui concerne la rédaction même de la définition de l’Eglise par Bellarmin, l’auteur rappelle, que saint Robert tenait tout particulièrement à défendre la visibilité de l’Eglise et c’est pourquoi, dans sa définition parue dans les „Controverses”, il ne se; contentata point de mentionner les éléments extérieurs: la confession' d’une même foi, la participation aux sacrements et le gouvernement exercé par des pasteurs légitimes. Il reconnaissait que ce n’était là qu’un minimum suffisant des conditions d’une vraie appartenance à l’Eglise. Pour terminer, l’auteur entreprend un essai d’évaluation critique de la manière de voir de saint Robert. Il rappelle que Bellarmin présente dans ses écrits divers aspects de la réalité de l’Eglise et que l’on ne pourrait donc l’accuser de ramener l’ecclésiologie à la seule doctrine de la structure visible et hiérarchique de l’Eglise. Contrairement à la majorité des théologiens de son temps, Bellarmin analyse avec plus de précision les éléments intérieurs et extérieurs décidant de l’unité de l’Eglise. Voulant résoudre le problème de l’appairteinance à l’Eglise, sujet de vives discussions alors, Bellarmin présente une conception originale de l’âme et du corps de l’Eglise. Cette différenciation, qui devait être modifiée au cours des siècles à venir, a conduit à des conclusions contraires à la conception de saint Robert, qui ont été abandonnées actuellement en théologie. Les opinions hétérodoxes sur l’Eglise ont été référées fidèlement par Bellarmin, quoique souvent isolées de la totalité de ces opinions. Il cite presque toutes les erreurs ecclésiologiques principales, connues de l’histoire, mais il a tort de comparer la manière de voir des luthériens aux opinions anciennes des pélagiens, novaciens et donatistes. Dans sa défense de la visibilité de l’Eglise, Bellarmin est allé trop loin en comparant l’Eglise à une société civile et en ramenant l’appartenance à l’Eglise à l’appartenance à son corps.Pozycja Z problematyki studiów apologetycznych w Polsce (działalność Warszawskiej Szkoły Apologetycznej w latach 1969-1977). Cześć II (1973-1977).Tabaczyński, Wojciech (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)