Częstochowskie Studia Teologiczne, 1978, T. 6

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    Wartość krytyczna świadectw autograficznych Bernadety Soubirous o mariofaniach z Lourdes
    Tabaczyński, Wojciech (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)
    Après avoir examiné les textes des témoignages autographiques de Bernadette Soubirous sur les mariophanies de Lourdes (1838) (A. Ravier, Les écrits de sainte Bernadette et sa voie spirituelle, Paris 1961, 52—106), l’auteur entreprend l’étude de ces témoignages visant à l’explication de leur valeur logique de point de vue semiotique et strictement formel. Cette étude, completée par la déscription synthetique de contenu de témoignages mentionnés ci-dessus, révéle leur valeur positive formelle et — par conséquant — la valeur analogue de capacités intellectuelles de Bernadette pendant ses travaux de redaction ainsi qu'en train de ses mariophanies. Par suite l’étude répresente une contribution importante à la meuilleure comprehension du caractère de visions extraordinaires de Bernadette auprès de la grotte Massabielle.
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    Nauka o. Justyna Zapartowicza - Miechowity OP (1590-1649) o soteriologicznych wartościach cierpień Maryi
    Pohorecki, Edward (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)
    Father Justin Zapartowicz O P (called the Miechowita) was one of Poland's leading Marian theologians of the seventeenth century. His main work the „Discursus praedicabiles” discusses all the then known problems concerning the Virgin Mary. Of particulair note is his teaching regarding the Virgin Mother's role in the Redemption. The above article discusses one of the main problems, namely, the soteriological value of the Virgin Mary's sufferings. In terms of today's categories the Miechowita belonged to Marian theologians called „Christototypicos” who try to explain the Virgin Mother's participation in the Redemption by emphasising the analogy between Christ and Mary. According to the author the Mother of God was so strongly united with her Son in terms of nature and grace that together with Him She redeemed the world „quasi uno corde”. However the value of the redemptive sufferrings differ from those of Christ: they only possess „de congruo” value. The redemptive presence of Mary under the Cross was determined by God in the very decree which determined Christ as the Redeemer. The Holy Virgin, as Christ’s co-sufferer took direct part in the struggle and so became co-Redeemer. The Miechowita also attempted to explain the redemptive value of` Mary’s sufferings in terms of the principle of cause and effect. He thus sees the Virgin Mary as playing an important causal part in the Redemption of the world albeit secondary to that of Christ. Theology today, however, rejects this view which was widespread before Vatican II. The view now accepted by many theologians tends to support the idea that the part played by the Mother of God the Mystery of Golgotha was receptive, in the sense of accepting the Redemption, rather than causal.
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    Kształtowanie się definicji Kościoła w pismach św. Roberta Bellarmina
    Łydka, Władysław (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)
    On à souvent affirmé, que s. Robert Bellarmin était l’auteur de la conception juridico — institutionnelle de l’Eglise et que son enseignement sur l’Eglise avait trouvé une expression synthétique dans la définition de l’Eglise. Afin de pouvoir apprécier ces affirmationis avec justesse, l’auteur entreprend de démontrer avec précision, comment la définition de l’Eglise s’est-elle formée dans les écrits de Bellarmin. Il analyse, pour commencer, les essais de définition de l’Eglise, entrepris à l’époque qui précéda renseignement de s. Robert. Bien que le problème de la définition de l’Eglise ne soit devenu pressant qu’à l’époque de la Réformation, l’on avait formulé, au Moyen-Age déjà, des définitions, un peu vagues cependant, comme „corps du Christ” et „rassemblement des fidèles”. Dès le début du XIV siècle, on essaya de définir l’Eglise sous son aspect juridique, hiérarchique et socio-institutionnel; ces essais avaient pour but la défense du pouvoir papal et de la structure visible et institutionnelle de l’Eglisse. De là aussi la tentative d’accentuer dans ces définitions le caractère hiérarchique et visible de l’Eglise. Diverses significations du terme même „Ecclesia” furent rassemblées et classées jusqu’à la moitié du XVI siècle. Ce fut aussi l’époque où l’an commenca à définir l’Egilse sous un aspect plus large — comme une communauté de tous les croyants „depuis Abel le Juste”. C’est alors aussi que l’on a formulé une définition de l’Eglise prise au sens strict, avec énumération de ses éléments, aussi bien extérieurs qu’intérieurs, L’époque de l’inauguration du concile de Trente fut aussi celle des efforts plus intensifs de définir l’Eglise d’une facon plus précise. Pour faire face aux conceptions protestantes de l’Eglise invisible, les théologiens icatholiques avaient commencé à omettre dans leurs définitions, l'énumération des éléments invisibles de l’Eglise, tout en accentuant exclusivement presque, les éléments visibles — institutionnels. L’auteur présente ensuite la nature de l’Eglise d’après Bellarmin, ainsi que les buts concrets qu’il visait dans la formation de la définition de l’Eglise. Il montre, que saint Robert était parfaitement conscient de toute la richesse de la doctrine révélée sur l’Eglise, et qu’il faisait ressortir dans ses écrits tant les éléments intérieurs qu’extérieurs de l’unité de l’Eglise. Il importait surtout à Bellarmin, que la définition s’opposât aux erreurs des protestants et de certaines sectes plus anciennes encore. C’est pourquoi il analyse tout d’abord des opinions erronées et, en forme de réponse, il cite ensuite sa définition, tout en accentuant les éléments visibles de l’Eglise, rejetés par les hétérodoxes. En ce qui concerne la rédaction même de la définition de l’Eglise par Bellarmin, l’auteur rappelle, que saint Robert tenait tout particulièrement à défendre la visibilité de l’Eglise et c’est pourquoi, dans sa définition parue dans les „Controverses”, il ne se; contentata point de mentionner les éléments extérieurs: la confession' d’une même foi, la participation aux sacrements et le gouvernement exercé par des pasteurs légitimes. Il reconnaissait que ce n’était là qu’un minimum suffisant des conditions d’une vraie appartenance à l’Eglise. Pour terminer, l’auteur entreprend un essai d’évaluation critique de la manière de voir de saint Robert. Il rappelle que Bellarmin présente dans ses écrits divers aspects de la réalité de l’Eglise et que l’on ne pourrait donc l’accuser de ramener l’ecclésiologie à la seule doctrine de la structure visible et hiérarchique de l’Eglise. Contrairement à la majorité des théologiens de son temps, Bellarmin analyse avec plus de précision les éléments intérieurs et extérieurs décidant de l’unité de l’Eglise. Voulant résoudre le problème de l’appairteinance à l’Eglise, sujet de vives discussions alors, Bellarmin présente une conception originale de l’âme et du corps de l’Eglise. Cette différenciation, qui devait être modifiée au cours des siècles à venir, a conduit à des conclusions contraires à la conception de saint Robert, qui ont été abandonnées actuellement en théologie. Les opinions hétérodoxes sur l’Eglise ont été référées fidèlement par Bellarmin, quoique souvent isolées de la totalité de ces opinions. Il cite presque toutes les erreurs ecclésiologiques principales, connues de l’histoire, mais il a tort de comparer la manière de voir des luthériens aux opinions anciennes des pélagiens, novaciens et donatistes. Dans sa défense de la visibilité de l’Eglise, Bellarmin est allé trop loin en comparant l’Eglise à une société civile et en ramenant l’appartenance à l’Eglise à l’appartenance à son corps.
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    Zasadnicze zręby sakramentalnej struktury Kościoła według „Lumen gentium” - konstytucji dogmatycznej o Kościele
    Kubiś, Adam (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)
    Der Verfasser des Artikels unternimmt den Versuch aufzuweisen, in welchem Grade die Konstitution Lumen gentium von der ldee der Sakramentatität durchdrungen ist. Eingehende Untersuchungen führen ihn zu der Schlussfolgerung, dass die Sakramentalität eine der zutiefst grundlegenden Begriffsfiormen bildet, in deren Lichte das II Vatikanische Konzil die Natur und die Sendung der Kirche Christi aufgefasst und der Welt dargestellt hat. Im Vergleich zu den bisher zu diesem Thema veröffentlichen Studien gibt der Verfasser eine verhältnismässing volle und ganzheitliche Erfassung der sakramentalen Sicht der Kirche, die das Vatikanum II gegeben hat.
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    Typologia kultu maryjnego w kazaniach św. Bernarda z Clairvaux zawartych w rękopisach XIII wieku ze zbiorów polskich
    Wojtkowski, Julian (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)
    Saeculo XIII mariologia Polonorum mutata est ex priore ecclesiotypica in christotypocam. Analysis sermonum Sancti Bernardi Claravallensis marionorum, in codicibus capitulari Cracoviensi Ms 176(68) et cisterciensi olim abbatiae Henricoviensis nunc bibliothecae Universitatis Wratislaviensis Ms I F 626 contentorum, ostendit maximum cultum imitationis Mariae, prae veneratione, dilectione et invocation«. Transitus ergo a mariologia ecclesiotypica, Mariae imitativa, ad mariologiam christotypicam, Mariae invocativam, in Polonia saeculi XIII Sanctum Bernardum Claravallensem minime auctorem habuit.
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    Patrzenie na Jezusa w świetle czwartej Ewangelii
    Gryglewicz, Feliks (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)
    Unter den neutestam entlichen Verfassern lenkt nur Johannes die Aufmerksamkeit auf das wie die Menschen Jesus amsehen. In der joh. Sichtfaast dieses Anisehein verschiedene und mit verschiedenen griechischen Worten ausgedrückte Haltungen um — vom reinen Ansehen bis zur eindringlichen Beobachtung Jesu und seiner Wunder. Das Ansehen. Jesu sollte, doch ist es nich ümmer so gewiesen, die Menschen zum Glauben hiinführen. Seihr speziell wird das Ansehen auf dem Gekreuzigten betrachtet — es bringt Hilfe für das christliche Leben. Die Augenzeugen der Auferstehung haben sich selbest über Jesus überzeugt und ihr Glauben war eine Grundlage für den Glauben der nächsten Christengeneratioinen gewesen.
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    Rodzina jako problem współczesnego duszpasterstwa katechetycznego
    Poręba, Piotr (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)
    La famille se présente comme un’ problème de l’aumônerie contemporaine, d’une part, comme l’objet des travaux de l’Eglise, d’autre part, comme le sujet, c’est-à-dire „une petite Eglise familiale”. La famille est une résultante de grandes collectivités sociales surtout celle de laics et celle de l’Eglise. Ces deux modèles de la famille chrétienne et laique ne font pas une harmonie, même dans certains points ils s’opposent ou ils s’excluent. En Pologne la famille résulte de ces deux modèles. En faisant une analyse plus profonde on peut remarquer les qualités communes pour ces deux modèles: personalisatioh des contacts, liens intérieurs, solidité intacte de la famille monogame, soins des enfants, mais, aussi, il faut signaler les défauts— attitude de consommateur, crise de la religion, crise de l’autorité, et éducation sexuelle mal orientée. Dans cette situation concrète, on devrait, par les activités de la catéchèse et de l’aumônerie, faire apparaître à la famille qu’elle est une Eglise de Christ en miniature. Voila les éléments de la structure de cette „petite Eglise familiale” : atmosphère éducative dans la famille, atmosphère de la foi vivante et authentique, atmosphère de l’amour, formation de l’attitude de sacrifice, responsabilité, idée de collectivité, de démocratie. L’influence sur la famille, comme l’objet des activités de l’Eglise, devrait être réalisée par les catéchèses se rapportant au mariage et à la famille, pour les parents, les jeunes et les enfants. Il faudrait accomplir cette mission d’une manière bien compétante et à longs termes.
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    Podstawowe pojęcia dotyczące obrządków
    Skubiś, Ireneusz (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)
    L’auteur présente les notions élémentaires qui se rapportent aux rites dans l’Eglisee On commence par l’explication de la notion „rite” dans les différentes langues anciennes et vivantes. Dans la suite on s’occupe de la notion du rite au sens liturgique et juridico-canonique. On comprend le rite comme Tensemible de toutes les lois et habitudes liturgiques, promulguées par le pouvoir ecclésial, qui concernet la célébration des offices, surtout de la Sainte Messe, et les sacrements. Au sens juridique, le rite c’est la communauté des croyants dirigée par ses propres lois et habitudes de la liturgie et de la discipline canonique, et, acceptée par le Siège Saint comme une communauté indépendante. Après avoir exposé la notion du rite, l’auteur montre les différents rites dans l’Eglise. D’abord, on présente les rites liturgiques dans l’Eglise Latine romain, ambrosien, galicain, mosarabe ou visigote. Les rites dans les Eglise Orientales sont étudiés au sens liturgique et au sens juridico-canonique. Dans la suite de l’article on touche le problème essentiel celui de l’adhésion au rite qui provoque les conséquences au sens liturgique et juridique. Il faut donc établir non seulement le nombre des rites dans l’Eglise mais, aussi, les principes qui décident de l’adhésion au rite. Il y a deux principes: 1-er le baptême solennel, 2-e le passage à un autre rite. Le baptême initie le nouveau baptisé à la communauté ecclésiale et, aussi, il fait du baptisé le membre de la communauté chrétienne concrète. Dans le temps ancien de la chrétienté, c’est l’évêque qui baptisait et, par ce fait,. devenait, le supérieur du nouveau baptisé. On pourrait y comprendre plus facilement que par le baptême on obtient la personalité dans l’Eglise et l’adhésion au rite. Celle-ci est réglée par les canons 08 et 755 (CJC) et les canons de 6 à 15 dans la codification pour les Eglises Orientales „Cleri sanctitati”. Dans cette partie de l’étude on expose les différences existant entre les dispositions du Code et la codification, la plus récente, des Eglises Orientales. Le principe, étant en vigueur, gui se rapporte au sacrement du baptême est présenté dans le cas du baptême pour les enfants et pour les adultes. Le problème du baptême pour les adultes qui se convertissent à l’Eglise catholique est montré dans deux cas: le baptême de la personne dont les parents ont délaissé le catholicisme et le baptême de la personne qui n’a pas de liaison avec le catholicisme mais demande l’adhésion à l’Eglise catholique.
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    Podstawy osobowości prawnej osób fizycznych w Kościele
    Krukowski, Józef (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)
    L’Artide présente les raisons qui donnent a une personne physique une personalité jurilique dans la communauté ecclésiale. Toute ces réflexions sont faites en quatre parties. Dans la I-ère, on a exposé les caractéristiques des notions: personne et personalité juridique. Dans la 2-e, on a souligné la personalité naturelle qui est dûe à l’homme selon la loi naturelle. Dans la 3-e, on a présenté les différentes dimensions de la personalité que l’homme peut acquérir selon la loi divine positive, à savoir personalité mystique, surnaturelle et ecclésiale. Dans la 4-e, on a caractérisé la personalité juridique que l’homme acquiert dans l’Eglise selon les prescriptions de la eloi canonique (Code de la loi canonique de 1917, schéma de Lex Eoclesiae Fundamentalis, schéma du 2-e livre de Populo Dei). En analysant ces lois, il en résulte que „l’homme devient une personne dans l’Eglise par le baptême” (can. 87), donc, l’homme non-baptisé n’a pas de personalité juridique dans l’Eglise. D’autre part, dans le Code on trouve des situations où l’homme non-baptisé peut entreprendre certaines activités ayant les conséquences juridiques dans l’Eglise p. ex. contracter le mariage mixte, accorder le baptême valide. L’aureur finit l’article par une proposition de lege ferenda: 1) on voudrait voir, dans le nouveau code canonique, une principe d’après laquelle tout homme a une personalité juridique dans l’Eglise, 2) et, c’est par le baptême qu’on acquiert tous les droits et toutes les obligations chrétiennes.
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    Egzystencja chrześcijańska jako strukturalny czynnik uniwersalizmu Kościoła
    Mierzwa, Irena (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)
    Die Sakramentalität der christlichen Existenz ist in den Sakramenten einge-Christus in seinem irdischen Leben das Zeichen der Gemeinschaft zwischen Gott und den Menschen war, so sind es auch die Christen, die seinem Beispiel folgen, und mit denen der Herr mitwirkt. Dank dieser Mitwirkung hat ihr menschliches Handeln eine heilbringende Dimension — das christliche Leben hat den Charakter eines sakramentalen Zeichens. Die Sakramentalität der christlichem Existenz ist dm dem Sakramenten eingewurzelt. Diese bilden den Ansatzpunkt der Präsenz Christi im christlichen Leben und legen die Grundformen der Zusammenwirkung mit Ihm fest. Da sie im unveränderten Kern durch alle Zeiten bestehen und gleichzeitig olle Kirche bestimmen, können wir von grundlegenden Verhaltensmustern sprechen, die durch die sakramentale Riten übermittelt werden. Die Sakramente gestalten den Verlauf des christlichen Lebens. Die Riten w erden im Lichte des begleitenden Wortes verstanden. Sie stellen den Christen einem bestimmten System von Werten gegenüber, der in dem Beispiel Christi Lebens enthalten ist. Um diesem Beispiel in verschiedenen kulturellen Verhältnissen zu folgen, ist es notwendig, diese Werte zu verstehen und anzunehmen. Die Funktion der Sakramente reicht jedoch w eiter. Sie vergegenwärtigen Christus den Berufenden selbst und führen den Menschen zum personalen Kontakt mit Ihm. Die Teilnahm am Leben und an der Mission Christi formt den Anteil der Christen an der Geschichte der Menschheit. Ihre Vereinigung mit Christus besteht in der Realisation der christlichen Werte des Glaubens, der Liebe und Vergebung inmitten der Gesellschaft, in der sie leben. Diese Werte bilden ihrer Art nach interpersonale Beziehungen und deswegen kann man sie in allen Kulturen aufbauen. Indem die Christen das tun, w erden im m er neue humane Werte und Bedürfnisse in den Kreis des Heiles einbezogen. So wird die Universalität des Heiles zum Ausdruck gebracht und verwirklicht. Diese Funktion der christlichen Existenz gehört zur sakramentalen Struktur der Kirche. Die Struktur der Kirche wird vor allem durch das Kirchenrecht erfasst. Um ihrem Wesen des Zeichens zu entsprechen, sollte das fundamentale Recht den sakramentalen Charakter der christlichen Existenz festlegen, sowie das damit verbundene Prinzip der Teilnahm am Mysterium Christi und an der Kultur. Die grundlegende Rolle der Sakramente für die Bewahrung der Identität der Kirche verlangt sorgfältige Berücksichtung der Eigenart der sakramentalen Riten und der Verbindlichkeit der anerkannten Werte.
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    Ogólne zasady soborowej odnowy kultu eucharystycznego
    Śliwiński, Klemens Józef (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)
    La dottrina della Chiesa e specie quella del Concilio Vaticano II sul significato comunitario dell’Eucaristia è stata più volte ripetuta ad accennata in diverse prescrizioni canoniche postconciliari. In modo particolare l’hanno sottolineata l’Istruzione Eucharisticum Mysterium (25 maggio 1967) e Introduzione generale al Messale Romano. Appunto in questi documenti troviamo delle conclusioni pratiche rappresentate in forma delie dettagiate norme sul carattere comunitario dell’Eucaristia. L’autore di questo articolo sviluppa cosi i seguenti problemi: 1. L’Eucaristia come memoria della Passione e Resurrezione del Signore; 2. L’Eucaristia come l’offerta di tutto il Popolo di Dio; 3. I fedeli — consapevoli ed attivi partecipi dell’Offerta eucaristica; 4. L’Eucaristia l’apice del culto della Chiesa; 5. L’Eucaristia — il segno e la causa della comunione, del Popolo di Dio. A parte accenniamo che l’articolo presente fa parte di una tesi di laurea (Rinnovamento del culto eucaristico alla luce della legge canonica postconciliare) scritta sotto la direzione del Rev. Prof. Taddeo Pawluk all’Accademia Teologica di Varsavia. La difesa aveva luogo il 30 giugno 1977.
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    Prałatury w kapitule katedralnej płockiej do końca XVI w.
    Góralski, Wojciech (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)
    Conformemente alla primordiale divisione dei membri dei capitoli in Chiesa, il capitolo cattedrale di Płock, eretto alla fine del XI s., era composto dei prelati e dei canonici. Nell’ articolo si tratta solo della evoluzione storica nel processu della erezione delle singole prelature. Dall’inizio del capitolo di Płock esisteva — come la prima dignità — quella di preposito. Con rilevante probabilità si può presupporre resistenza pure dall’inizio delle dignità del custode e dello scolastico, sebbene le prime informazioni delle fonti provengano solo dal 1148. Probabilmente all’oceasdone della reorganizzazione del capitolo, effettuata dal vescovo Alessandro di Malonne nel 1144, sono state erette le sequenti dignità: del decano, del arcidiacono e del primicerio, affermate dalle fonti solo nel 1207, La settima prelatura è stata fondata nel 1316: quella del arcidiacono di Dobrzyń, dopo l’erezione del nuovo arcidiaconato nella diocesi di Płock (in Dobrzyń), Nel 1322 fu creata una nuova dignità — del cancelliere che sequiva nella precedenza il custode. Nel 1411 si nota il cambiamento della precedenza tra le dignità: l’arcidiacono di Płock ha precuduto lo scolastico. Finalmente, nel 1443, quando fu eretto un nuovo arcidiaconato (in Pułtusk), è stata fondata la nona dignità nel capitolo, prevista proprio per gli arcidiaconi di Pułtusk. Cosi il processo della evoluzione nella erezione delle dignità capitolari è stato — per i lunghi secoli — chiuso.
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    Kreacjonizm chrześcijański wobec nowych hipotez kosmologicznych
    Życiński, Józef (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)
    ln the paper the problem of relationship between new cosmological hypotheses dealing with creation of matter and the traditional Christian doctrine of creation ex nihilo is considered. The attempts to introduce the problem of creation into physical theory undertaken among others by P.A.M. Dirac, P. Jordan, F. Hoyle, J. V. Narlikar, are continued by H. Urbantke, K. Philbert, Ch. W. Misner and other's authors. The outline of their theories is followed by ari analysis of epistemoloigical and methodclogical aspeets of new solutions. The author expresses his gratitude to the Catholic University of America whose support made possible the preparation of this paper.
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    Próba metrycznego ujęcia podmiotowych i przedmiotowych wymiarów osobowości
    Uchnast, Zenon (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)
    The basic assumptions of this research follows the propositions of the humanistic psychology on subject-object dichotomy as a fundamental characteristic of human self-consciousness. The self-consiciousness is described in terms of a process of oscilation between the two dialectically interdependent polars of cognitions; between the perceptual experience of himself as a subject and object. Ability to sustain a dynamic equilibrium in the process of oscilation between these two poles renders possible optimal functioning of personality. Therefore, there is a dearth of appropriate methodes to measure these aspects of personal functioning. I introduce a research on feasability of using the Semantic Differential technique devised by Ch. Osgood as tentative method for the differentiation of subject-object dichotomy. This technique is applied to assess the evaluative dimension of connotative meanings of the concepts which describe the subjective-objective perceptual experiences of the self. They are ais follow: being an individual - being a part of community, authenticity - concem for good impression, self-actualizing - imitating, stability-lability, dignity of the person-utility of the person, automomy-heteronomy, spontaneity - control of oneself, creative behavior-adaptative behavior, self-realization - efficacity, experience of freedom - experience of dependency. The applied technique based on subject's ratings of the meanings of the chosen concepts along the several seven pointed scales makes possible to measure the linear distance between the points in the semantic space representing concepts describing the dimension of the subject dichotomy. The empirical research presented in this article suggests an significant discriminative value of the proposed method (Subject-Object Scale).
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    Z problematyki studiów apologetycznych w Polsce (działalność Warszawskiej Szkoły Apologetycznej w latach 1969-1977). Cześć II (1973-1977).
    Tabaczyński, Wojciech (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)
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    Mariologia w patrystyce Wschodu
    Ortiz de Urbina, Ignacio (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)
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    Maryja a historia zbawienia w świetle prawosławnej liturgii eucharystycznej
    Mierzejewski, Ryszard (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)
    L’essai présenté relève les points essentiels de l’histoire du Salut, notamment son origine, sa durée actuelle ainsi que son accomplissement final. Il montre, d’une manière synthétique, comment la liturgie Eucharistique orthodoxe présente l’image de Marie dans la protologie de l’histoire du Salut, donc dans ses origines préhistoriques, après la chute et dans la période de l’Ancien Testament du Salut. Le motif de Marie est envisage ensuite dans l’aspect ecclesiastique, voire dans l’accomplissement réel du Salut, pendant l’existence de l’Eglise. Enfin le motif de Maria est pris dans l’aspect eschatologique, comprenant l’accès de l’Humanité au Royaume de Dieu, à la fin des siècles.
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    Rozwój kultu Matki Bożej w Kościele
    Mikołajczyk, Marian (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)
    Les chrétiens entouraient la Vierge Marie de sentiments d’amour et de vénération dès les temps les plus anciens. Les Actes des Apôtres la montrent parmi les Apôtres dans l’attente de la descente de l’Esprit-Sairib Pères Apostoliques et plus tard les Pères de l’Eglise mentionnent et célèbrent son admirabile Maternité Divine. La plus ancienne formule romaine de la confession de la foi animait constamment cette vérité dans l’esprit des fidèles par les mots „natum ex Maria Virgine”, de même que certaine anaphores de la Messe (p. ex. celle d’Hyppolyte Romain, +235). Les fresques des catacombes de Priseille, Domicilie ou de S. Calliste, où Marie figure non comme un élément décoratif, mais comme objet de culte, témoignet du culte de la Mère de Dieu aux II et III ss. La prière „Sub tuum praesidium”, connue dès le III siede et récitée jusqu’à nos jours exprime la foi des chrétiens dans la Maternité Divine de Marie et leus confiance en sa ouissante intercession. Après le Concile d’Ephèse où la vérité de la Maternité Divine de Marie fut définie comme dogme de foi, le culte de Marie s’anima encore plus, d’abord en Orient, puis en Occident. On dédiait à Marie des églises, on faisair ses icônes — entourées de vénération spéciale en Orient — enfin on commença a célébrer ses fêtes, dont certaines étaient connues en Syrie p. ex. dés la fin du IV siede. Les fêtés de la Purification, de l’Annonciation, de l’Assomption et de la Maternité, célébrées en Orient au V s., furent introduites en Occident aux environs du VII s. Au commencement du moyen âge l’Eglise d’Ocident profitait encore quelque temps des formes de dévotion mariale apportées de l’Orient par les moines fuyants sous la pression de l Islam. Dans les siècles suivants le culte marial gagna pourtant de solides bases doctrinales grâce aux oeuvres des grands maîtres de scolastique, entre autres de S. Bonaventure. On voit surgir des Ordres religieux voués à la Vierge Marie et propageant son culte (p. ex. les Cisterciens, les Franciscains, Dominicains, Carmes, Servites). Ils lancent de nouvelles formas de dévotion mariale: le Petit Office die la Vierge (mentionné pour la première fois au X s), la prière Ave Maria (le texte employé aujourd’ hui est connu dans la II moitié du XV s.), le Rosaire (las laics récitaient 150 Ave Maria à l'imitation des clercs tenus à réciter 150 Psaumes; dans sa forme actuelle il n’est connu qu’au XVII s.), la prière „Angelus Domini” (au XII is. trois ou cinq Ave Maria). Enfin bien des Sanctuaires de Notre Dame connus jusq’ à nos jours datent du moyen âge. Aux temps modernes, malgré le protestantisme qui combattait le culte de Mairie, la dévotion mariale gagne en intensité. On inroduit au Calendrier Romain beaucoup de nouvelles fêtes a l’honneur de la Vierge, de nouvelles formes de culte apparaissent et se développent — la Messe votive de l’Avent, les Litanies, la eoronatian sollennelle des effigies de Notre Dame, enfin on lui consacre des nations entières. Le culte augmenta beaucoup grâce aux apparitions de la S. Vierge, à la dévotion mariale des Papes, surtout aux XIX et XX ss., à diverses fraternités et associations mariales, entre autres la Milice de l’immaculée. Le Concile Vatican II se prononca sur le culte de Marie, Mère de Dieu en montrant sa place dans l’histoire du salut et dans l’Eglise (le chap. VIII de Lumen Gentium). Enfin le Pape Paul VI traca les lignes principales du culte de Marie dans son adhortation „Marialis Cultus”.
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    Maryja wzorem Kościoła
    Siudy, Teofil (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)
    Le Concile Vatican II montrant la place de la Vierge Marie dans le mystère de l'Église a mis en relief entre autres cette vérité, que Marie est le modèle de l'Église (typus Ecclesiae, LG 63). Pour bien comperendre cette exemplarité de la Vierge il faut soulinger, que véritable exemplaire et modèle de l'Église est seul Christ et c est pourquoi la réalité de la vie de l'Église constitue l'imitation du Christ. Marie est aussi le modèle de l'Église, mais seulement comme la créature totalement dépendante et subordonnée au Christ. La théologie contemporaine s'appuyant sur l'enseignement dé Vatican II et de l'exhortation apostolique „Mariahs cultus” de Paul VI examine l'exemplarité de Marie sur deux niveaux: sur’le niveau de l'étre et sur le niveau de l'action (linea ontica et linea ethica). Á cette conception Marie est d'une part, par sa maternité virginale, le modèle de l'Église à sa perfection ontologique et d'autre part elle est aussi le modèle de la vie de l'Église et chaque de sa marnbre (la perfecti on éthique) par exemplaire sa foi, sa charité et sa obéissance de la volonté de Dieu. Á sa activité apostolique l'Église doit avoir conscience de fait, que sa modèle est la Vierge Marie.
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    Początki zła na ziemi w świetle Księgi Rodzaju rr. 1-11. (Refleksje biblijno-teologiczne)
    Grzybek, Stanisław (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)
    Erste 11 Kapitel des Buches Genesis geben uns die Antwort auf die Frage: Wer hat die Welt geschaffen, wer hat den Mensch geschaffen und wo die Quelle des Böses ist. Die se Fragen sind keine Fragen nach die Gaschishtlichkeit der Welt und des Mensches, sonder sie sind die theologische Fragen. Was für eine theologische Wahrheit in den ersten Kapitel des Buches Genesis eingeschrieben wurde? Die Leute wollten wiesisen wovn das Böses stammt? Das Buch. Genesis in den ertsen 11 Kapitel spricht: Das Böses stammt nich vom Gott, weil Gott gut ist. Stammt auch nich von Menschen, weil sie durch den besten Gott geschaffen sind. Nach die Lehre des Genesis die Quelle des Böses liegt im bösem Geist. Die Wahrheit ist im 3 Kapitel vorgestelt und dann im 6 bis 9 und in 11 Kapitel wiedergeholt.