Częstochowskie Studia Teologiczne, 1978, T. 6
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Pozycja Der Hedwigs - Codex von 1353. Sammlung Ludwig. Herausgegeben von Wolfganng Braunfels. 1. Band: Faksimile der volhständigen Handschrift, Gebr. Mann Verlag. 2. Band: Texte und Kommentare mit Beiträgen von Wolfgang 8 Braunfels, Josef Krasa, Klaus Kratzsch und Peter Moraw, Berlin 1972. T.lk. 204, T. 2, s. 232.(Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)Pozycja Deus veritatis. „Prawda” w teologii PsałterzaTronina, Antoni (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)Due nozioni bibliche: èmet e émuna hanno molto simili significati; la LXX traduce ambedue nel Salterio quasi sempre: aletheia, „verità”. Tuttavia l’analisi dei singoli salmi ha provato che quella versione è possibile solo nei pochi testi. Di solito si traita della bontà immutabile di Jahvè, risultante dall’alleanza e manifestata nella storia d’Israele. I salmi reali appellano alla promessa divina per la dinastia davidica. Nelle lamentazioni gli israeliti tormentati spesso implorarono la fedeltà di Dio, la quale attesta il suo „vero” in confronto agli idoli. Pure gli inni cantarono la divin afedeltà come espressione della sua potenza salutare e del’injtervento per il popolo eletto. Nella poesia didattica gli attributi divini si imputa alla „Lege” che accosta il valore assoluto come la Verità rivelata. La fedeltà dii Jahvè è una base sulla quale Israele deve costruire la sua fede e fedeltà. Ella si manifesta in tutta la vita sociale e privata, nella giustìzia e benevolenza mutua, nella veracità e sincerità interna. La fedeltà perfetta a Dio ed agli uomini dominerà nel regno di Messia promesso.Pozycja Egzystencja chrześcijańska jako strukturalny czynnik uniwersalizmu KościołaMierzwa, Irena (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)Die Sakramentalität der christlichen Existenz ist in den Sakramenten einge-Christus in seinem irdischen Leben das Zeichen der Gemeinschaft zwischen Gott und den Menschen war, so sind es auch die Christen, die seinem Beispiel folgen, und mit denen der Herr mitwirkt. Dank dieser Mitwirkung hat ihr menschliches Handeln eine heilbringende Dimension — das christliche Leben hat den Charakter eines sakramentalen Zeichens. Die Sakramentalität der christlichem Existenz ist dm dem Sakramenten eingewurzelt. Diese bilden den Ansatzpunkt der Präsenz Christi im christlichen Leben und legen die Grundformen der Zusammenwirkung mit Ihm fest. Da sie im unveränderten Kern durch alle Zeiten bestehen und gleichzeitig olle Kirche bestimmen, können wir von grundlegenden Verhaltensmustern sprechen, die durch die sakramentale Riten übermittelt werden. Die Sakramente gestalten den Verlauf des christlichen Lebens. Die Riten w erden im Lichte des begleitenden Wortes verstanden. Sie stellen den Christen einem bestimmten System von Werten gegenüber, der in dem Beispiel Christi Lebens enthalten ist. Um diesem Beispiel in verschiedenen kulturellen Verhältnissen zu folgen, ist es notwendig, diese Werte zu verstehen und anzunehmen. Die Funktion der Sakramente reicht jedoch w eiter. Sie vergegenwärtigen Christus den Berufenden selbst und führen den Menschen zum personalen Kontakt mit Ihm. Die Teilnahm am Leben und an der Mission Christi formt den Anteil der Christen an der Geschichte der Menschheit. Ihre Vereinigung mit Christus besteht in der Realisation der christlichen Werte des Glaubens, der Liebe und Vergebung inmitten der Gesellschaft, in der sie leben. Diese Werte bilden ihrer Art nach interpersonale Beziehungen und deswegen kann man sie in allen Kulturen aufbauen. Indem die Christen das tun, w erden im m er neue humane Werte und Bedürfnisse in den Kreis des Heiles einbezogen. So wird die Universalität des Heiles zum Ausdruck gebracht und verwirklicht. Diese Funktion der christlichen Existenz gehört zur sakramentalen Struktur der Kirche. Die Struktur der Kirche wird vor allem durch das Kirchenrecht erfasst. Um ihrem Wesen des Zeichens zu entsprechen, sollte das fundamentale Recht den sakramentalen Charakter der christlichen Existenz festlegen, sowie das damit verbundene Prinzip der Teilnahm am Mysterium Christi und an der Kultur. Die grundlegende Rolle der Sakramente für die Bewahrung der Identität der Kirche verlangt sorgfältige Berücksichtung der Eigenart der sakramentalen Riten und der Verbindlichkeit der anerkannten Werte.Pozycja Hans Urs von Balthasar i inni, Maria Heute Ehren, Freiburg-Basel-Wien 1977, str. 320, wyd. W. Beinert-Herder.Grzybek, Stanisław (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)Pozycja J. G. Clarke. L'enjeu chretien au Proche-Orient editions du centurlon. Paris 1965, ss. 159.Przekop, Edmund (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)Pozycja Kreacjonizm chrześcijański wobec nowych hipotez kosmologicznychŻyciński, Józef (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)ln the paper the problem of relationship between new cosmological hypotheses dealing with creation of matter and the traditional Christian doctrine of creation ex nihilo is considered. The attempts to introduce the problem of creation into physical theory undertaken among others by P.A.M. Dirac, P. Jordan, F. Hoyle, J. V. Narlikar, are continued by H. Urbantke, K. Philbert, Ch. W. Misner and other's authors. The outline of their theories is followed by ari analysis of epistemoloigical and methodclogical aspeets of new solutions. The author expresses his gratitude to the Catholic University of America whose support made possible the preparation of this paper.Pozycja Kształtowanie się definicji Kościoła w pismach św. Roberta BellarminaŁydka, Władysław (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)On à souvent affirmé, que s. Robert Bellarmin était l’auteur de la conception juridico — institutionnelle de l’Eglise et que son enseignement sur l’Eglise avait trouvé une expression synthétique dans la définition de l’Eglise. Afin de pouvoir apprécier ces affirmationis avec justesse, l’auteur entreprend de démontrer avec précision, comment la définition de l’Eglise s’est-elle formée dans les écrits de Bellarmin. Il analyse, pour commencer, les essais de définition de l’Eglise, entrepris à l’époque qui précéda renseignement de s. Robert. Bien que le problème de la définition de l’Eglise ne soit devenu pressant qu’à l’époque de la Réformation, l’on avait formulé, au Moyen-Age déjà, des définitions, un peu vagues cependant, comme „corps du Christ” et „rassemblement des fidèles”. Dès le début du XIV siècle, on essaya de définir l’Eglise sous son aspect juridique, hiérarchique et socio-institutionnel; ces essais avaient pour but la défense du pouvoir papal et de la structure visible et institutionnelle de l’Eglisse. De là aussi la tentative d’accentuer dans ces définitions le caractère hiérarchique et visible de l’Eglise. Diverses significations du terme même „Ecclesia” furent rassemblées et classées jusqu’à la moitié du XVI siècle. Ce fut aussi l’époque où l’an commenca à définir l’Egilse sous un aspect plus large — comme une communauté de tous les croyants „depuis Abel le Juste”. C’est alors aussi que l’on a formulé une définition de l’Eglise prise au sens strict, avec énumération de ses éléments, aussi bien extérieurs qu’intérieurs, L’époque de l’inauguration du concile de Trente fut aussi celle des efforts plus intensifs de définir l’Eglise d’une facon plus précise. Pour faire face aux conceptions protestantes de l’Eglise invisible, les théologiens icatholiques avaient commencé à omettre dans leurs définitions, l'énumération des éléments invisibles de l’Eglise, tout en accentuant exclusivement presque, les éléments visibles — institutionnels. L’auteur présente ensuite la nature de l’Eglise d’après Bellarmin, ainsi que les buts concrets qu’il visait dans la formation de la définition de l’Eglise. Il montre, que saint Robert était parfaitement conscient de toute la richesse de la doctrine révélée sur l’Eglise, et qu’il faisait ressortir dans ses écrits tant les éléments intérieurs qu’extérieurs de l’unité de l’Eglise. Il importait surtout à Bellarmin, que la définition s’opposât aux erreurs des protestants et de certaines sectes plus anciennes encore. C’est pourquoi il analyse tout d’abord des opinions erronées et, en forme de réponse, il cite ensuite sa définition, tout en accentuant les éléments visibles de l’Eglise, rejetés par les hétérodoxes. En ce qui concerne la rédaction même de la définition de l’Eglise par Bellarmin, l’auteur rappelle, que saint Robert tenait tout particulièrement à défendre la visibilité de l’Eglise et c’est pourquoi, dans sa définition parue dans les „Controverses”, il ne se; contentata point de mentionner les éléments extérieurs: la confession' d’une même foi, la participation aux sacrements et le gouvernement exercé par des pasteurs légitimes. Il reconnaissait que ce n’était là qu’un minimum suffisant des conditions d’une vraie appartenance à l’Eglise. Pour terminer, l’auteur entreprend un essai d’évaluation critique de la manière de voir de saint Robert. Il rappelle que Bellarmin présente dans ses écrits divers aspects de la réalité de l’Eglise et que l’on ne pourrait donc l’accuser de ramener l’ecclésiologie à la seule doctrine de la structure visible et hiérarchique de l’Eglise. Contrairement à la majorité des théologiens de son temps, Bellarmin analyse avec plus de précision les éléments intérieurs et extérieurs décidant de l’unité de l’Eglise. Voulant résoudre le problème de l’appairteinance à l’Eglise, sujet de vives discussions alors, Bellarmin présente une conception originale de l’âme et du corps de l’Eglise. Cette différenciation, qui devait être modifiée au cours des siècles à venir, a conduit à des conclusions contraires à la conception de saint Robert, qui ont été abandonnées actuellement en théologie. Les opinions hétérodoxes sur l’Eglise ont été référées fidèlement par Bellarmin, quoique souvent isolées de la totalité de ces opinions. Il cite presque toutes les erreurs ecclésiologiques principales, connues de l’histoire, mais il a tort de comparer la manière de voir des luthériens aux opinions anciennes des pélagiens, novaciens et donatistes. Dans sa défense de la visibilité de l’Eglise, Bellarmin est allé trop loin en comparant l’Eglise à une société civile et en ramenant l’appartenance à l’Eglise à l’appartenance à son corps.Pozycja Mariologia w patrystyce WschoduOrtiz de Urbina, Ignacio (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)Pozycja Maryja a historia zbawienia w świetle prawosławnej liturgii eucharystycznejMierzejewski, Ryszard (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)L’essai présenté relève les points essentiels de l’histoire du Salut, notamment son origine, sa durée actuelle ainsi que son accomplissement final. Il montre, d’une manière synthétique, comment la liturgie Eucharistique orthodoxe présente l’image de Marie dans la protologie de l’histoire du Salut, donc dans ses origines préhistoriques, après la chute et dans la période de l’Ancien Testament du Salut. Le motif de Marie est envisage ensuite dans l’aspect ecclesiastique, voire dans l’accomplissement réel du Salut, pendant l’existence de l’Eglise. Enfin le motif de Maria est pris dans l’aspect eschatologique, comprenant l’accès de l’Humanité au Royaume de Dieu, à la fin des siècles.Pozycja Maryja wzorem KościołaSiudy, Teofil (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)Le Concile Vatican II montrant la place de la Vierge Marie dans le mystère de l'Église a mis en relief entre autres cette vérité, que Marie est le modèle de l'Église (typus Ecclesiae, LG 63). Pour bien comperendre cette exemplarité de la Vierge il faut soulinger, que véritable exemplaire et modèle de l'Église est seul Christ et c est pourquoi la réalité de la vie de l'Église constitue l'imitation du Christ. Marie est aussi le modèle de l'Église, mais seulement comme la créature totalement dépendante et subordonnée au Christ. La théologie contemporaine s'appuyant sur l'enseignement dé Vatican II et de l'exhortation apostolique „Mariahs cultus” de Paul VI examine l'exemplarité de Marie sur deux niveaux: sur’le niveau de l'étre et sur le niveau de l'action (linea ontica et linea ethica). Á cette conception Marie est d'une part, par sa maternité virginale, le modèle de l'Église à sa perfection ontologique et d'autre part elle est aussi le modèle de la vie de l'Église et chaque de sa marnbre (la perfecti on éthique) par exemplaire sa foi, sa charité et sa obéissance de la volonté de Dieu. Á sa activité apostolique l'Église doit avoir conscience de fait, que sa modèle est la Vierge Marie.Pozycja Nauka o. Justyna Zapartowicza - Miechowity OP (1590-1649) o soteriologicznych wartościach cierpień MaryiPohorecki, Edward (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)Father Justin Zapartowicz O P (called the Miechowita) was one of Poland's leading Marian theologians of the seventeenth century. His main work the „Discursus praedicabiles” discusses all the then known problems concerning the Virgin Mary. Of particulair note is his teaching regarding the Virgin Mother's role in the Redemption. The above article discusses one of the main problems, namely, the soteriological value of the Virgin Mary's sufferings. In terms of today's categories the Miechowita belonged to Marian theologians called „Christototypicos” who try to explain the Virgin Mother's participation in the Redemption by emphasising the analogy between Christ and Mary. According to the author the Mother of God was so strongly united with her Son in terms of nature and grace that together with Him She redeemed the world „quasi uno corde”. However the value of the redemptive sufferrings differ from those of Christ: they only possess „de congruo” value. The redemptive presence of Mary under the Cross was determined by God in the very decree which determined Christ as the Redeemer. The Holy Virgin, as Christ’s co-sufferer took direct part in the struggle and so became co-Redeemer. The Miechowita also attempted to explain the redemptive value of` Mary’s sufferings in terms of the principle of cause and effect. He thus sees the Virgin Mary as playing an important causal part in the Redemption of the world albeit secondary to that of Christ. Theology today, however, rejects this view which was widespread before Vatican II. The view now accepted by many theologians tends to support the idea that the part played by the Mother of God the Mystery of Golgotha was receptive, in the sense of accepting the Redemption, rather than causal.Pozycja Ogólne zasady soborowej odnowy kultu eucharystycznegoŚliwiński, Klemens Józef (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)La dottrina della Chiesa e specie quella del Concilio Vaticano II sul significato comunitario dell’Eucaristia è stata più volte ripetuta ad accennata in diverse prescrizioni canoniche postconciliari. In modo particolare l’hanno sottolineata l’Istruzione Eucharisticum Mysterium (25 maggio 1967) e Introduzione generale al Messale Romano. Appunto in questi documenti troviamo delle conclusioni pratiche rappresentate in forma delie dettagiate norme sul carattere comunitario dell’Eucaristia. L’autore di questo articolo sviluppa cosi i seguenti problemi: 1. L’Eucaristia come memoria della Passione e Resurrezione del Signore; 2. L’Eucaristia come l’offerta di tutto il Popolo di Dio; 3. I fedeli — consapevoli ed attivi partecipi dell’Offerta eucaristica; 4. L’Eucaristia l’apice del culto della Chiesa; 5. L’Eucaristia — il segno e la causa della comunione, del Popolo di Dio. A parte accenniamo che l’articolo presente fa parte di una tesi di laurea (Rinnovamento del culto eucaristico alla luce della legge canonica postconciliare) scritta sotto la direzione del Rev. Prof. Taddeo Pawluk all’Accademia Teologica di Varsavia. La difesa aveva luogo il 30 giugno 1977.Pozycja P. Rondot, Les chretiens d'orient. Paris 1965, ss. III+332.Przekop, Edmund (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)Pozycja Patrzenie na Jezusa w świetle czwartej EwangeliiGryglewicz, Feliks (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)Unter den neutestam entlichen Verfassern lenkt nur Johannes die Aufmerksamkeit auf das wie die Menschen Jesus amsehen. In der joh. Sichtfaast dieses Anisehein verschiedene und mit verschiedenen griechischen Worten ausgedrückte Haltungen um — vom reinen Ansehen bis zur eindringlichen Beobachtung Jesu und seiner Wunder. Das Ansehen. Jesu sollte, doch ist es nich ümmer so gewiesen, die Menschen zum Glauben hiinführen. Seihr speziell wird das Ansehen auf dem Gekreuzigten betrachtet — es bringt Hilfe für das christliche Leben. Die Augenzeugen der Auferstehung haben sich selbest über Jesus überzeugt und ihr Glauben war eine Grundlage für den Glauben der nächsten Christengeneratioinen gewesen.Pozycja Początki zła na ziemi w świetle Księgi Rodzaju rr. 1-11. (Refleksje biblijno-teologiczne)Grzybek, Stanisław (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)Erste 11 Kapitel des Buches Genesis geben uns die Antwort auf die Frage: Wer hat die Welt geschaffen, wer hat den Mensch geschaffen und wo die Quelle des Böses ist. Die se Fragen sind keine Fragen nach die Gaschishtlichkeit der Welt und des Mensches, sonder sie sind die theologische Fragen. Was für eine theologische Wahrheit in den ersten Kapitel des Buches Genesis eingeschrieben wurde? Die Leute wollten wiesisen wovn das Böses stammt? Das Buch. Genesis in den ertsen 11 Kapitel spricht: Das Böses stammt nich vom Gott, weil Gott gut ist. Stammt auch nich von Menschen, weil sie durch den besten Gott geschaffen sind. Nach die Lehre des Genesis die Quelle des Böses liegt im bösem Geist. Die Wahrheit ist im 3 Kapitel vorgestelt und dann im 6 bis 9 und in 11 Kapitel wiedergeholt.Pozycja Podstawowe pojęcia dotyczące obrządkówSkubiś, Ireneusz (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)L’auteur présente les notions élémentaires qui se rapportent aux rites dans l’Eglisee On commence par l’explication de la notion „rite” dans les différentes langues anciennes et vivantes. Dans la suite on s’occupe de la notion du rite au sens liturgique et juridico-canonique. On comprend le rite comme Tensemible de toutes les lois et habitudes liturgiques, promulguées par le pouvoir ecclésial, qui concernet la célébration des offices, surtout de la Sainte Messe, et les sacrements. Au sens juridique, le rite c’est la communauté des croyants dirigée par ses propres lois et habitudes de la liturgie et de la discipline canonique, et, acceptée par le Siège Saint comme une communauté indépendante. Après avoir exposé la notion du rite, l’auteur montre les différents rites dans l’Eglise. D’abord, on présente les rites liturgiques dans l’Eglise Latine romain, ambrosien, galicain, mosarabe ou visigote. Les rites dans les Eglise Orientales sont étudiés au sens liturgique et au sens juridico-canonique. Dans la suite de l’article on touche le problème essentiel celui de l’adhésion au rite qui provoque les conséquences au sens liturgique et juridique. Il faut donc établir non seulement le nombre des rites dans l’Eglise mais, aussi, les principes qui décident de l’adhésion au rite. Il y a deux principes: 1-er le baptême solennel, 2-e le passage à un autre rite. Le baptême initie le nouveau baptisé à la communauté ecclésiale et, aussi, il fait du baptisé le membre de la communauté chrétienne concrète. Dans le temps ancien de la chrétienté, c’est l’évêque qui baptisait et, par ce fait,. devenait, le supérieur du nouveau baptisé. On pourrait y comprendre plus facilement que par le baptême on obtient la personalité dans l’Eglise et l’adhésion au rite. Celle-ci est réglée par les canons 08 et 755 (CJC) et les canons de 6 à 15 dans la codification pour les Eglises Orientales „Cleri sanctitati”. Dans cette partie de l’étude on expose les différences existant entre les dispositions du Code et la codification, la plus récente, des Eglises Orientales. Le principe, étant en vigueur, gui se rapporte au sacrement du baptême est présenté dans le cas du baptême pour les enfants et pour les adultes. Le problème du baptême pour les adultes qui se convertissent à l’Eglise catholique est montré dans deux cas: le baptême de la personne dont les parents ont délaissé le catholicisme et le baptême de la personne qui n’a pas de liaison avec le catholicisme mais demande l’adhésion à l’Eglise catholique.Pozycja Podstawy osobowości prawnej osób fizycznych w KościeleKrukowski, Józef (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)L’Artide présente les raisons qui donnent a une personne physique une personalité jurilique dans la communauté ecclésiale. Toute ces réflexions sont faites en quatre parties. Dans la I-ère, on a exposé les caractéristiques des notions: personne et personalité juridique. Dans la 2-e, on a souligné la personalité naturelle qui est dûe à l’homme selon la loi naturelle. Dans la 3-e, on a présenté les différentes dimensions de la personalité que l’homme peut acquérir selon la loi divine positive, à savoir personalité mystique, surnaturelle et ecclésiale. Dans la 4-e, on a caractérisé la personalité juridique que l’homme acquiert dans l’Eglise selon les prescriptions de la eloi canonique (Code de la loi canonique de 1917, schéma de Lex Eoclesiae Fundamentalis, schéma du 2-e livre de Populo Dei). En analysant ces lois, il en résulte que „l’homme devient une personne dans l’Eglise par le baptême” (can. 87), donc, l’homme non-baptisé n’a pas de personalité juridique dans l’Eglise. D’autre part, dans le Code on trouve des situations où l’homme non-baptisé peut entreprendre certaines activités ayant les conséquences juridiques dans l’Eglise p. ex. contracter le mariage mixte, accorder le baptême valide. L’aureur finit l’article par une proposition de lege ferenda: 1) on voudrait voir, dans le nouveau code canonique, une principe d’après laquelle tout homme a une personalité juridique dans l’Eglise, 2) et, c’est par le baptême qu’on acquiert tous les droits et toutes les obligations chrétiennes.Pozycja Prałatury w kapitule katedralnej płockiej do końca XVI w.Góralski, Wojciech (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)Conformemente alla primordiale divisione dei membri dei capitoli in Chiesa, il capitolo cattedrale di Płock, eretto alla fine del XI s., era composto dei prelati e dei canonici. Nell’ articolo si tratta solo della evoluzione storica nel processu della erezione delle singole prelature. Dall’inizio del capitolo di Płock esisteva — come la prima dignità — quella di preposito. Con rilevante probabilità si può presupporre resistenza pure dall’inizio delle dignità del custode e dello scolastico, sebbene le prime informazioni delle fonti provengano solo dal 1148. Probabilmente all’oceasdone della reorganizzazione del capitolo, effettuata dal vescovo Alessandro di Malonne nel 1144, sono state erette le sequenti dignità: del decano, del arcidiacono e del primicerio, affermate dalle fonti solo nel 1207, La settima prelatura è stata fondata nel 1316: quella del arcidiacono di Dobrzyń, dopo l’erezione del nuovo arcidiaconato nella diocesi di Płock (in Dobrzyń), Nel 1322 fu creata una nuova dignità — del cancelliere che sequiva nella precedenza il custode. Nel 1411 si nota il cambiamento della precedenza tra le dignità: l’arcidiacono di Płock ha precuduto lo scolastico. Finalmente, nel 1443, quando fu eretto un nuovo arcidiaconato (in Pułtusk), è stata fondata la nona dignità nel capitolo, prevista proprio per gli arcidiaconi di Pułtusk. Cosi il processo della evoluzione nella erezione delle dignità capitolari è stato — per i lunghi secoli — chiuso.Pozycja Próba metrycznego ujęcia podmiotowych i przedmiotowych wymiarów osobowościUchnast, Zenon (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)The basic assumptions of this research follows the propositions of the humanistic psychology on subject-object dichotomy as a fundamental characteristic of human self-consciousness. The self-consiciousness is described in terms of a process of oscilation between the two dialectically interdependent polars of cognitions; between the perceptual experience of himself as a subject and object. Ability to sustain a dynamic equilibrium in the process of oscilation between these two poles renders possible optimal functioning of personality. Therefore, there is a dearth of appropriate methodes to measure these aspects of personal functioning. I introduce a research on feasability of using the Semantic Differential technique devised by Ch. Osgood as tentative method for the differentiation of subject-object dichotomy. This technique is applied to assess the evaluative dimension of connotative meanings of the concepts which describe the subjective-objective perceptual experiences of the self. They are ais follow: being an individual - being a part of community, authenticity - concem for good impression, self-actualizing - imitating, stability-lability, dignity of the person-utility of the person, automomy-heteronomy, spontaneity - control of oneself, creative behavior-adaptative behavior, self-realization - efficacity, experience of freedom - experience of dependency. The applied technique based on subject's ratings of the meanings of the chosen concepts along the several seven pointed scales makes possible to measure the linear distance between the points in the semantic space representing concepts describing the dimension of the subject dichotomy. The empirical research presented in this article suggests an significant discriminative value of the proposed method (Subject-Object Scale).Pozycja Problem pokuty i ofiary w posoborowych konstytucjach paulinówPasternak, Ferdynand (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1978)In articulo quaestionem, quae ad specificam spiritualitatem Paulinam pertinet, inde ab initiis (1215 a.) auctor examinat, quaestionem nempe de poenitentia et sacrificio sive de proprietatibus singularibus eiusdem spiritualitatis. Quae in ampla basi comparativa ostenduntur: a) primum in documentis conciliaribus, in quibus tamquam nota peculiaris vitae consiliorum evangelicorum prostant, b) deinde in anteconciliaribus Constitutionibus Paulinis veteres traditiones religiosas continentibus, c) denique in quantum hoc problemma invenitur in accomodatis ad placita Concilii Vaticani II Constitutionibus ac in Directorio generali, a Sede Apostolica 1973 a. approbatis. Quae in hoc recenti documento forma poenitentiae necn-on respectivae praxes poenitentiates exhibentur, de spiritualitate Paulina propria confirmanda (sive de eorum identitate in historica evolutione) testantur. Et insuper eadem formae de hac spiritualitate accomodata ad hodierna tempora dicunt, secundum scilicet actualem Ordinis missionem, quae in propriorum membrorum sanctificatione atque in apostolicis muneribus, ei ab Ecclesia commisiis adimplendis, consistit. Auctor simul elementa spiritualitatis Paulinae connexa cum spiritualitate Mariana ostendit, cuius signa non solum sunt historiae monumenta, sed etiam actualia Ordinis munera, quae in Ecclesia ac in mundo hodierno, implentur.