Częstochowskie Studia Teologiczne, 1979, T. 7

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    Obrona boskiej godności Chrystusa w polskiej teologii katolickiej XVI wieku
    Misiurek, Jerzy (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1979)
    Le XVIe siècle s'est accentué dans l’histoire de l’Eglise - surtout dans celle des pays européens - par des guerres religieuses. Par suite de la réforme de Luther et de Calvin des mouvements antitrinitaires prenaient naissance. L’église des frères polonais - fondée entre 1562 et 1565, issue de l’église calviniste connue sous le nom de l’église majeure et nommée l’église mineure ou arianiste - a donné a ces idées une forme bien caractéristique. Les terrains principaux de ce mouvement furent la Petite-Pologne et la Lithuanie. La réflexion théologique des frères polonais concernait surtout la Personne de Jésus Christ ainsi que l’Esprit Saint. Les uns approuvaient la dignité du Christ comme Fils de Dieu, les autre la niaient. A cause de ces divergences le mouvement des frères polonais fut partagé en trois fractions: des trithéistes, des dithéistes et des unitaires. Des théologiens catholiques ainsi que des luthériens et des calvinistes - en Pologne et a l’étranger - polemisaient avec leur doctrine. Des représentants des trithéistes et des dithéistes ainsi que des unitaires débattaient dans leurs écrits la divinité du Christ sans que leurs commentaires aient diffćrć en dćtail: tous considéraient le Christ comme un homme doué d'un pouvoir divin ou bien comme un homme „fait” Dieu. Jan Licinius Namysłowski (+ 1636), Stanisław Lubieniecki senior (+ 1640) et Piotr Statorius junior (+ 1605) se sont prononcés d’une manière la plus radicale. Ils étaient d’avis que le Christ a été créé par Dieu. Des protestants ainsi que des catholiques polémisaient avec eux surtout se fondant sur des textes bibliques ou patristiques ainsi que sur des documents des conciles oecuméniques de l’antiquité chrétienne, pour prouver la nature divine du Christ et l’identité de son essence avec celle du Père. Ce sont surtout des oeuvres polémiques de Hieronim Powodowski (+ 1613), de Jakub Wujek (+ 1597), de Marcin Śmiglecki (+ 1619) et de Stanisław Ostrowski (+ 1610), qui ont eu répercussion parmi les frères polonais. On peut dire qu'au XVIe siècle deux tendances christologiques sont entrées en collision: „christologie disjonctive” cultivae pendant l’antiuité principalement par l’école d'Antiochie et qui a eu des repercussions chez les frères polonais antropomorphes puisque dans leurs réflexions concernant la réalité de Jésus du point du vue de sa nature humaine ils n’ont pas suffisament mis en évidence sa filiation divine, selon l’esprit du Concile de Chalcédoine. Par contre des théologiens protestants et catholiques polemisants avec des frères polonais étaient continuateurs des tendances unifiantes de l’école d’Alexandrie. S’appuyant sur la foi en la Trinité et en expliquant la réalité du Christ a l’aide du Verbe de Dieu la christologie des polémistes se trouva obligée d’accepter l’idée du Pére des cieux qui envoie son Fils éternel sur la terre. Ces deux tendances passent et repassent pendant toute l’histoire de la théologie. Certains théologiens catholiques, p.ex. H. Küng, P. Schoonenberg, A. Hulsbosch et quelques autres expriment des idées analogues a la pensée des frères polonais surtout dans leur conception unitaire.
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    Soborowe zastosowania sakramentalnej koncepcji Kościoła
    Kubiś, Adam (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1979)
    L’auteur prend en considération les formules conciliaires proclamant l’Eglise comme sacrement, en particulier celles contenues dans les documents relatifs à: la sainte liturgie (5; 26), l’activité missionaire de l’Eglise (1; 5) et l’Eglise dans le monde actuel (42; 45). En comparaison avec les formules analogues de la Constitution dogmatique „Lumen gentium” (1; 9; 48; 59) elles y sont moins déclaratives. Les documents cités tendent avant tout à appliques la doctrime déjà reconnue à cesujeta au but que le Vatican II avait visé à réaliser par leur promulgation.
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    Typologia małżeństwa Adam-Ewa i „małżeństwa” Chrystus-Kościół a małżeństwo chrześcijan (na podst. Ef 5, 21-33)
    Chłąd, Stanisław (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1979)
    Dans le texte Ep 5, 21—33 on peut distinguer deux niveaux du discours: doctrinal, concernant des relations du Christ avec l’Eglise et parénétique, montrant le modèle de l’union conjugale des chrétiens. Au nivau doctrinal Paul s’est servi de deux images. Selon le premier l’Eglise est le Corps du Christ. Le deuxième montre les „épousailles” du Christ avec l’Eglise. Cet image est fidèle à la représentation des unions de YHWH avec l’Israël dans l’AT qui étaient comparés aux unions de deux époux (Os 1. 3). A leur tour, les unions de Dieu avec l’Israël ont devenues modèle, prototype sacral du couple. Ayant devant les yeux le mariage juif contracté à deux étapes (les „fiançailles” et les épousailles proprement dites) Paul a représenté d’une manière pareille le „mariage” du Christ avec l’Eglise. Le premier étape constituait l’oeuvre salutaire de Jésus-Christ (Ep 5, 25n). Le deuxième sera eschatologique au sens strict (5, 27). A présent l’Eglise vit une périod intermédiaire (5, 28—30). Ep 5, 32 contient l’interprétation typologique du contenu de Gn 2, 24: l’ union du Christ avec l’Eglise est l’antitype du mariage légitime d’Adam et d’Eve. Le schéma de cette typologie se montre comme une proportion mathématique: Adam/Christ = Eve Eglise. Devant cette realite le mariage des chrétiens est un reflet actuel et même une imitation de l’union d’amour; mais celle du Christ et de l’Eglise et non pas celle d’Adam et d’Eve. Chez Paul l’„imitation” ne signifie point produire une copie mais „participer à”. Le „mariage” Christ-Eglise est non pas seulement le modèle mais aussi le fondement des rapports mutuels des époux. Par tout cela le mystère Christ-Eglise est pour les époux la grâce de participation. La consécration de l’homme pour la femme et de la femme pour l’homme base sur le fait que leur union est absolue comme l’est l’union du Christ avec l’Eglise.
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    „Jeden pośrednik” a „inni pośrednicy” według ksiąg symbolicznych luteranizmu Liber Concordiae (1530-1580)
    Napiórkowski, Stanisław Celestyn (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1979)
    Die traditionelle Interpretation des Prinzips „solus Christus” war und bleibt ausdrücklich antimariologisch. Es wird verstanden als die Vermittlung der Heiligen und Marias ausschließend, ja als Ausschluß der Heilsvermittlung aller Geschöpfe. Im vorliegenden Artikel werden viele Texte aus den symbolischen Büchern des Luthertums Liber Concordiae angeführt, anhand derer die Fehlerhaftigkeit einer solchen Interpretation aufgezeigt wird. Der Artikel verteidigt die These, daß sie die Heilsvermittlung der Geschöpfe nicht nur zulassen, sondern sogar ausdrücklich davon sprechen. Daher muß die exklusive Interpretation des Prinzips „solus Christus” durch eine inklusive, d. h. für die Vermittlung der Heiligen und Marias offene Interpretation ersetat werden. Wiedergegeben wird hier der Text eines auf dem Internationalen Mariologiekongreß in Saragossa (3—12 Oktober 1979) gehaltenen Referates.
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    Pielgrzymki Polaków do sanktuariów maryjnych i świętych Pańskich (X-XVI w.)
    Schenk, Wacław (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1979)
    Polnische Pilgerfahrten begannen bald nach der Annahme des chritlichen Glaubens (966) und gingen zum Grabe des noch nicht kanonisierten Bischofs von Augsburg, Ullrich, dann nach St. Gilles in Frankreich, nach Hildesheim zum Grabe des hl. Godehard (12.Jh.), Zahlreiche Pilger zogen nach Rom, besonders in den Jubiläumsjahren, so dass ein polnisch sprechender Beichtvater erforderlich wurde. Sogar in Aache und im fernen Santiago de Compostela treffen wir im Mittelalter Wallfahrer aus Polen. Wallfahrten ins hl. Land sind Gegenstand eines anderen Artikels. In Polen selbst entstanden Wallfahrtszentren in Gnesen mit dem Grabe des hl. Adalbert und, wenn auch weniger besucht, in Wojciechowo bei Międzyrzecz (Meseritz), später in Kazimierz Biskupi bei Konin, wo sich Reliquien der sog. Fünf Brüder befinden, die 1003 ermordet wurden. Im Hochmittelalter verlagert sich der Mittelpunkt des politischen und religiösen Lebens nach dem Süden Polens. Krakau erhält (1184) Reliquien des hl. Florian; Ziel zahlreicher Pilger wurde seit dem 13.Jh. des Grab des hl. Stanislaus (1253 kanonisiert) im Dom zu Krakau, der Dominikaner Hyazinth und Vitus in der krakauer Ordenskirche. Lokale Bedeutung hatten der selige Ceslaus, Dominikaner in Wrocław (Breslau) und der selige Werner, Bischof von Płock. Südlich von Krakau liegt das Klarissenkloster Stary Sącz mit dem Grabe der seligen Kinga (Kunegunde), die besonders von Grubenleuten der Salzbergwerke in Wieliczka und Bochnia verehrt wurde. In Krakau selbst beteten Pilger bei dem Reliquienschrein der seligen Salomea in der Franziskanerkirche. Pilger aus der Umgebung von Gnesen gingen vom Grabe des hl. Adalbert zu den Reliquien der seligen Jolanta im nahen Klarissenkloster. Eine starke Wallfahrtsbewegung entstand im schlesischen Trzebnica (Trebnitz) am Grabe der hl. Hedwig, hielt unvermindert durch Jahrhunderte an mit Ausnahme der Reformationszeit. Die Glaubigen der Gegend um Sandomierz pilgerten in die Stadt, um die Opfer des Tatareneinfalls (1259/60) zu ehren. Grosse Verehrung genoss im 14.Jh. der hl. Leonhard, besonders in Klecie in Südpolen. Das 15.Jh. erhielt die Bezeichnung „Felix saeculum Cracoviae“ wegen einer Gruppe von Männern, die im Rufe der Heiligkeit starben und deren Gräber Pilger anzogen; zu ihnen gehören der Theologieprofessor Johannes Cantius, der Augustinermönch lsaias Boner, der regulierte Chorherrenbruder Michael Giedroyć, der Bernardinermönch Simon aus Lipnica, der Laterankanoniker Stanislaus Kazimierczyk. In der Kathedrale auf dem Wawel traf man damals Pilger am Grabe der Königin Jadwiga (Hedwig) und des Bischofs Johannes Prandota (gest. 1266), dessen Reliquien 1454 aufgefunden wurden. Der Stanislauskult ging in verstärktem Masse auf die Kirche am Felsen (na Skałce) über. Im Norden Polens pilgerte man im 15.Jh. zum Grabe Bogumils, des ehemaligen Erzbischofs von Gnesen, der als Einsiedler in Dobrowo an der Warte starb, zu den Reliquien der Reklusin Dorothea von Montau in der Kathedrale zu Kwidzyn (Marienwerder) und später auch zum Grabe der Jutta von Sangershausen im Dom zu Chełmża (Kulmsee). Lokale Reichweite besassen Pilgerfahrten zum Grabe des Franziskaners und Erzbischofs von Halicz-Lemberg. Jakub Strepa, zu den Reliquien des Bernardinermönches Johannes aus Dukla, gestorben in Lemberg, des Königssohnes Kasimir, verehrt im Dom zu Wilna, des Bernardinermönches Wladislaus aus Gielniów, gestorhen in Warschau und verehrt als Patron dieser Stadt. Ziel mittelalterlicher Pilgerfahrten waren das Grab oder Reliquien eines Heiligen, selten ein Bild eines Heiligen (z. 8. Leonhard). Der Kult von „wundertätigen“ Bildern kam erst im 15.Jh. auf und fand sein Zentrum in Częstochowa (Tschenstochau), im Kloster der weissen Paulinermönche mit dem berühmten Bilde der „Schwarzen Madonna“ (gegr. 1482-1484). Wallfahrer kamen aus ganz Polen und den Nachbarlandern. Częstochowa wurde zum Landesheiligtum Polens und zum Symbol der nationalen und religiösen Einheit. Das Pilgerwesen fand seinen Widerhall in der Liturgie, auf der Kanzel und schuf verschiedene Pilgereinrichtungen. Alt sind der Pilgersegen vor Beginn der Wallfahrt, die Messe pro iter agentibus, im Mittelalter die Votivmesse de tribus regibus pro itinerantibus oder pro peregrinis, die Segnung der Pilgerkleidung (Mantel, Hut, Stab und Tasche). Die Wallfahrt bildete oft einem wesentlichen Teil der Bussliturgie. Heiligenpredigtn und Wunderbeispiele bewogen gar manchen, eine Pilgerfahrt zum Grabe des Heiligen zu unternehmen. Im Falle der Unmöglichkeit der persönlichen Einlösung einer gelobten Wallfahrt infolge Krankheit, Alter oder Beruf taten dies stellvertretend andere Nahestehende oder berufliche „peregrini“. Aus Sicherheitsgründen erhielten die Pilger ein Geleitschreiben ihres Bischofs. An den gewohnten Pilgerstrassen entstanden Kirchen, Klöster, Gästehäuser und - für Kranke - Krankenhäuser und Bruderschaften, die sich der Pilger annahmen.
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    Teologia moralna zachodnia na przełomie XVI i XVII wieku (Zarys problematyki historyczno-metodologicznej)
    Dziuba, Andrzej F. (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1979)
    Einen wesentlichen Durchbruch erlebte die Moraltheologie im XVI. und XVII. Jahrhundert. Diese Erscheinung hat eine breite und belegte Ursache. Am Ende des XIV. Jahrhunderts ist Europa das Blickfeld der damaligen Lebensverhältnisse. Verwandlungen vollziehen sich auf der politischen, gesellschaftlichen, Ökonomischen, kulturellen und religiösen Ebene. Die Hauptrolle hierbei fällt dem sich nähernden Humanismus zu. Diese Tendenz im Bereich des religiösen Lebens hinterliess bei dr wissenschaftlichen Betrachtung der Theologie positive Spuren. Der wesentliche Moment der Moraltheologie dieser Zeit war die Aufgabe des Verhältnisses zur Theologie allgemein, und die Diskussion zur Erkennung der Wirklichkeit. Am Ende bleib die Bestätigung des Tomism, der sich durchaus nicht immer positiv auf die Moraltheologie auswirkte. Im ganzen spielten für die Erscheinung der Moraltheologie der damaligen Zeit die Ordensschulen eine ausschlaggebende Rolle. Tomism, verbunden mit bestimmten Elementen des Humanismuss w aren die Grundlage für die Entwicklung der Moraltheologie. Die Dominikanische Schule verstand es entsprechend die spekulativen und moralischen Elemente zusammenzustellen, was im Effekt der Moraltheologie den Charakter einer Wissenschaft gab, die man in anderen Ordensschulen nicht kannte. Die Grundlinie in Richtung des Tomism praktizierten die Pauliner, Cystersianer, Benediktiner und die sogenannte zweite Schule der Karmeliter. Im Gegensatz zur zweiten Schule der Karmeliter, hielt sich die erste Schule des Ordens an die theologische Zusammensetzung von Johann Bacontrope. Die Schule der Franziskaner schloss sich im XVI.—XVII. Jahrhundert an die Lehre des Johann Dunsa Scot an. Die von den Franziskanern übernommen Lehre des Scot wurde als schöpferisch betrachtet unter Ausnutzung vieler Elemente der Dominikaner und Jesuiten. Die wichtigste Rolle in der Geschichte der Moraltheologie spielten zu dieser Zeit die Jesuiten. Auf Empfehlung des hlg. Ignatz Loyoli, erw arben die Jesuiten viele humanistische Elemente, die auf der Doktrin des hl. Tomas von Akwin bestanden. Aus den Reihen der Jesuiten sind viele hervorragende Repräsentanten der Moraltheologie hervorgegangen. Besondere Pionierarbeit auf dem Gebiet der Moraltheologie hinterliessen in ihren Werken: H. Henriquez, W. Figlliuci, J. Azor, T. Sanchez und P. Layman. Die erwähnten Autoren trugen dazu bei, dass die Moraltheologie eine sebstständige Disziplin innerhalb der Theologie wurde.
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    Odpowiedzialne rodzicielstwo
    Skrzydlewski, Władysław (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1979)
    The paper is divided in 4 parts: I. The term „responsible parenthood” in the broader sense denotes the dynamic and creative process of giving birth and educating children, the process incarnating love and accomplishing vocation of the spouses to the immediate cooperation with God in the work of creation and salvation, consciously and deliberately undertaken by the spouses as their task to be actualized. However, the term is commonly accepted in the narrow sense and means only undertaking decisions in order to give birth to the appropriate number of children. II. The criterions of the responsible parenthood, as the objective criterions of Kraków theologians so the functional ones of Pope Paul VI, give no readymade solutions, but call the spouses to find the optimal decisions in compairing the tasks of their parental vocation with the indications resulting from the scientific analysis of the given circumstances of living. III. Indications resulting from the demographic and economic analysis, as well as from sociology, psychology and pedagogy, enhance the Polish spouses to have at least 3 children, despite the bottle-neck in housing and the difficulties in earning the living. IV. Proposals for promoting the responsible parenthood concern the members of society and Church, as well as the respective authorities. Above all, the legal prohibition of abortion should be introduced, and cheep or free family counselling developed, so as maternity leave, part-time jobs and family allowances system. Housing and repartition of flats need amelioration. The educational programs of medical and other studies, and the popular information giving have to be improved in order to prepare people to the parental tasks. Everybody is called to help spouses and parents who have to accomplish their task of responsible parenthood in the framework of the theology of hope.
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    Zmiana obrządku w świetle obowiązującego prawa
    Skubiś, Ireneusz (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1979)
    Les principes actuels qui concernent le changement du rite s’appuient sur le Code de la Loi Canonique de 1917 et sur la codification de Pie XII de 1957 se rapportant aux Eglises orientales et, en particulier, sur le décret du Concile de Vatican II „Orientalium Ecclesiarum” de 1964. A la base de ces documents, l’auteur présente les problèmes suivants: 1. l’interdiction d’efforcer quelqu un à changer le rite; 2. l’interdiction arbitraire du changement du rite; 3. les conditions pour le changement du rite; 4. le problème de changement du rite au Concile de Vatican II. Quant à la notion du changement du rite, il faut y comprendre la changement total, c’est-à-dire, celui qui passe à un autre rite est libre de toutes les lois et obligotions du rite auquel il appartenait, mais il reprendra toutes les lois et obligations du rite nouveau. L’Eglise surveille soigneusement l’adhérence des fidèles à leur rite et ne permet même pas d’efforcer quelqu’un à changer le rite. En se référant à de grandes traditions de l’Eglise dans ce domaine, la juridiction actuelle interdit le changement arbitraire de rite. Dans l’article, on énumère les rites „sui iuris” en l’Eglise. Le nombre de rites implique l’application du principe de nonpassage à un autre rite. On s’occupe de 26 rites „sui iuris” en l’Eglise. L’interdiction du changement du rite n’est pas absolue. Il y a des circonstances dans lesquelles l’Eglise permet plus facilement de changer le rite p.ex. la femme mariée peut passer au rite de son mari. Dans la partie suivante de l’article on présente les cas différents concernant le changement du rite p.ex. le changement du rite par un acatholique passant au catholicisme. Le changement du rite est un acte juridique et c’est pourquoi on a besoin de certaines formalités pour qu’il ait les conséquences juridiques. On présente aussi le problème de la compétence surtout celle de la Congrégation pour les Eglises Orientales. Le problème du changement du rite est différent pour les laies et pour les ecclésiastiques. Pour obtenir l’acceptation du changement du rite basée sur l’induit du Saint Siège on exige de justes et importantes raisons. Le problème du changement du rite avait une histoire intéressante au Concile de Vatican II et c’est pourquoi on l’a traité à part.
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    Współczesna literatura mariologiczna na Zachodzie na temat: Maryja-Kościół
    Siudy, Teofil (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1979)
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    Duszpasterstwo w ujęciu ks. Karola Dębińskiego (1858-1943)
    Kamiński, Ryszard (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1979)
    Là pastorale di C. Dębiński si é formata in base al risultato di tre fattori: la formazione teologica pastorale del Autore, i concetti che gli erano noti della teologia pastorale nell’Occidente e i bisogni locali. Il confronto fra le opinioni di Dębiński ed i concetti pastorali in Occidente permette di scoprire molti elementi comuni anzitutto per quel che riguarda le premesse generali. Invece C. Dębiński ha completato il suo concetto con gli elementi vivi ed attuali allora in Polonia. C. Dębiński sequendo la voce della sua epoca accetava ufficialmente l’opinione che il pastore d’anime é il soggetto dell’attività pastorale, mentre l’oggetto sono i fedeli; ma da rilevare che egli ha anche visto la necessità e il beneficio dell’impegno dei laici. Egli era convinto che una pastorale parrocchiale ben fatta richiedesse l’attivizzazione dei perrocchiani. La possibilità di un’attività piu ampia era da lui vista nello organzzazioni religiose. Inoltre pensava che nella parrocchia ci dovesse essere un gruppo di laici, si quali il parroco affidasse dei compiti speciali. Nonostante l’Autore avesse sottolineato la necessità di impegnare i laici, egli tuttavia seguiva conzezioni dei tempi, affidando cosi ai laici un ruolo ausiliare di appoggio nell’attività pastorale. Dębiński concepiva i mezzi dell’azione pastorale come continuazione del triplice ufficio di Cristo: profetico, sacerdotale e pastorale. Per quanto riguarda il fine dell’attività pastorale per l’Autore esso consisteva nel consequire la felicità eterna. Ci sono però anche accenni al fatto che bisogna preocuparsi alla felicità temporanea e che nalla pastorale bisogna tener conto dell’uomo totale, con i suoi bisogni non solo religiosi e morali, ma anche materiali e culturali. Un importante punto di riferimento pastorale é la parrocchia. In essa si svolgono le azioni pastorali. Sembra che Dębiński avesse sulla parrocchia una visione molto ampia, perché parlando della parrocchia la intendeva come un centro amministrativo ma anche come un grande famiglia della communita legata attraverso la fede, la vita sacramentale e il servizio di carità. Dębiński sottolineava la necessità dell’influenza del padre spirituale. Perciò in lui acquista grande importanza il problema della personalità del sacerdote e della sua formazione. L’Autore propone la creazione di un clima adequato fra i sacerdoti che lavorano in una parrocchia; tale clima dobrebbe essere basato sull’aiuto e la cordialità reciproca. L’Autore fa dipendere l’efficacia della pastorale in gran parte dalla conoscenza dei parrocchiani. Tale conoscenza egli la intende estesa a tutti gli aspetti dell’esistenza dell’uomo. Um importante ruolo nella conoscenza dei parrocchiani é attribuito alla visita annuale alle famiglie, la cosi detta „kolęda”. Dębiński legava il rinnovamento della vita religiosa delle parrocchie e dei singoli parrocchiani all’efficacia dell’insegnamento, della catechizazione, del buon funzionamento delle biblioteche parrocchiali etc. Di una grande efficacia per la vita religiosa dell’uomo so rivela la spiritualità connessa alla santa liturgia. La Santa Messa, i sacramenti e li funzioni parrocchiali devono occupare il posto più importante nel lavoro pastorale. Nostro autore ha sottolineato che ci sono bisogni comuni a tutti i fedeli, ma ci sono anche altri bisogni specifici di alcume persone oppure di alcuni gruppi, per i quali, in sequito alle loro condizioni di vita, non può essere sufficiente la normale assistenza pastorale. Per estendere l’assistenza pastorale anche a queste persone o gruppi, é necessario realizzare una pastorale specializzata, con i metodi ad essa adeguati. C. Dębiński prendendo la considerazione il bisogno di concretezza propone qualque forme di pastorale specializzata: la pastorale delle organizzazioni religiose, dei vari gruppi professionali, delle emigrazioni stagionali, del personale di sevizio adetto alla Chiesa e consiglio parrocchiale, dei chierichetti, delle vocazioni sacerdotali e religiose, dei malati, deglii alcoolizzati e la pastorale missionaria. I suggerimenti di C. Dębiński non abbracciano tutti i problemi che sono diventati oggi l’ogetto della pastorale specializzata. Ma ai suoi tempi in Polonia questi problemi erano brucianti. L’elaborazione della pastorale di Dębiński rende possibile una compresnsione migliore dell’attività pastorale della Chiesa nel passato, ed anzitutto in Polonia. Inoltre si può constatare che molte sue indicazioni pastorali sono ancora attuali, dopo il Concilio Vaticano II.
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    Słowo Boże i jego słuchanie w ujęciu św. Jana ewangelisty
    Gryglewicz, Feliks (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1979)
    Für jeden Mensch bedeutete das Hören des Gotteswortes neue Perspektiven. Darum so viele Begriffe im NT für dieses Wort, vor allem bei Paulus. Johannes sprach nicht dem Wortschatz des Paulus in dieser Hinsicht nach, sondern verwendete den Wort schätz seiner kirchlichen Gemeinden und das in dieser Weise dass seine Begriffe des Gotteswortes (logos, remata, didache, lalia, laleo, angelia, fone, akoe) herausheben lassen, was Jesus selbst und was die Gemeinde lehrte. Vor allem hat er zwischen dem Hören und dem Zuhören unterschieden, sich auf dem Letzten konzentriert und die Möglichkeit der Befolgung dieses Wortes gezeigt. Wenn man noch daran denkt, dass sein Wortschatz im NT gar nicht zu den zahlreichsten gehört, um so mehr ist es zu bewundern, wie mannigfaltige Begriffe für das Wort Gottes und Nuancen für die Verwirklichung dieses im Leben des Menschen von ihm gebraucht werden. Seine Auffassung vom Zuhören des Gotteswortes hilft nicht nur den Glauben, sondern auch das ganze Leben der Gläubigen im neuen Licht zu sehen.
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    Koncepcja człowieka w ujęciu psychologów humanistycznych
    Uchnast, Zenon (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1979)
    Humanistic psychology is a new orientation which endeavors to go beyond the points of view of behaviorism or psychoanalysis. This orientation is concerned with man as a person rather than an „organism”; as being basically growth-oriented, searching for an authentic and meaningful way of human life. The founders of humanistic psychology: Maslow, May, Rogers, Bugental, make emphasis on man as a creative being, controlled not by outside ior unconstious forces but by his own values and choices. Their emphasis is upon the experiencing person, spontaneity, uniqueness, and existential problems. Among the many from whiom they took its inspiration were Goldstein, Angyal, Binswanger, Snygg and Combs. Humanistic image of man, then, is a product of many individual efforts and an assimilation of many ideas, especially of organismic, phenomenological and existential thought.
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    Informator o bibliotekach kościelnych w Republice Federalnej Niemiec
    Nir, Roman (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1979)
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    Maryja jako członek Kościoła według współczesnej teologii katolickiej
    Siudy, Teofil (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1979)
    In seinem doktrinären Grunddokumente - dogmatischer Konstitution „Lumen gentium”, hat uns das II Vatikanische Konzil die gesegnete Jungfrau Maria als gegenwärtig im Christus- und Kirchengeheimnis vorgestellt. Diese Tatsache hatte in grossem Masse einen wichtigen Einfluss auf die Denkformen und Kategorien der nachkonzilischen theologischen Reflexion über das Geheimnis der Jesusmutter eingebracht. Die Grundauforderung und der Grundgedanke dieser Reflexion wurde u.a. Ihr ekklesiologischer Ausmass. Mit dieser ekklesiologischer Funktion Marias Geheimnisses befasst sich das hier präsentierte Studium über das Problem der Mitgliedschaft Marias in der Kirche im Sinne der neuzeitlichen katholischen Theologie. Der Ausgangspunkt wäre das Problem der ekklesiastischen Mitgliedschaft Marias und zugleich das Grundthema der ganzen Reflexion über Marias Bander mit der Kirche. Es ist verständlich, dass Maria erst als Mitglied der Christikirche sich von allen, sonstigen Mitgliedern damit auszeichnet, was Sie in die Kirche einbringt und was Sie in der Kirche bedeutet: Maria als Vorbild der Kirche und als dieser Kirche Mutter. Das sind daher die Grundanlagen und Folgerungen des hier praesentierten Studiums. Der Ausgangspunkt für die Synthese wäre das metodologische Prinzip das die Relation Maria - Kirche verstandlich machen. Vorerst mtisste man die Relation Christus und die Kirche erläutern und zugleich auch die Relation Christus - Maria (diesen Weg schreiten auch die betreffenden Kanonen des Vaticanum II „Lumen gentium”; auch neuzeitliche Autoren behaupten die Statthaftigkeit dieser Denkform). Der erste Kapitel unsere Ausführungen befasst sich mit der ersten Relation: Christus - Kirche. Christus das Haupt der Kirche, Urheber und Vollender, durch Seinen. Geist erlöst und heiligt die einzelnen Glieder Seines Mistischen Leibes. Tätig und beteiligt sind auch die Glieder dieses mistischen Organismus - in dem sie im Glauben Gottes Geschenk annehmen und durch freie Antwort sich in das gemeinsame Bauen der Gott-menschlichen Gemeinschaft der Kirche einfügen. Dieser mistische Ausmass der Kirche - wie es die Theologen unterstreichen - soll man sich vor die Augen stellen wenn man von der Relation Maria - Kirche spricht. Der zweite Zusammenhang: Christus - Maria, der in dem nächsten Kapitel beschrieben ist - greift schon den Gedanken über Charakter und Wessen des Verbundenseins Maria und der Kirche auf. Der Masstab des Verhältnisses Christus - Maria kann man schon aus dem alttestamentlichen Bild der zukünftigen Mutter der Erlösers ergreifen. Gottes Mutterschaft Marias, Ihr enges und unmittelbares Bündniss mit Christus sondert Sie nicht von der Gemeinschaft des Gottesvolke ab, im Gegenteil - bindet Sie noch tiefer. Es ist die ganze messianische Gemeinschaft in Marias Person „enthalten”, Sie gebiert und zugleich nimmt den angesagten Mesias an. Die mütterliche Berufung Marias kommt zum Vorschein besonders in der mütterlichen Berufung alttestamentlicher Tochter des Sion und hat einen gänzlich ekklesiastischen Ausmass. Als Grundlage des mütterlichen Bündnisses Marias mit Christus offenbart sich das Geheimnis Ihrer Empfängnisbereitschaft und die Vorbereitung zu dieser mütterlichen Funktion -gabe Ihrer höchsten Erhabenheit in Christi Erlösung. Die Tatsache des unbefleckten Empfängnis Marias - um welche es sich hier handelt - erhöht Sie jedoch und sondert Sie nicht von den übrigen Leuten ab. Die Erwägungen der neuzeitlichen katholischen Theologen die sich oft in ihrer Interpretation der Analogie mit dem Sakrament der Taufe bedlienen, bezeugt ebenfalls den nahen Zusammenhang Marias mit der Gemeinschaft der Erwartenden urd Empfangenden die Erlösung. Die Jesusmutter ist ein Teil homines salvandi, so wie die ganze Adams Nachkommenschaft. Sie ist im eigentlichem und wahrem Sinne, obwohl im erhaberem Sinne, erretet. Diese erhabenste Erlösung deutet wiederum auf Ihren ausergewöhnlichen Platz verbunden mit der entsprechender Aufgabe „angesichts” und „in” der Gemeinschaft der Erlösten, der Ihr zukommt. Die vom Unbefleckem Empfängnis stammende volle Gnade Marias Mutter Christi wurde „fruchtbar” durch Ihren Anteil am Aufbau durch Ihren Sohn der Kirche des Neuen Bündnisses. Dieser Anteil - wie unterstrichen wird - überschreitete jedoch gar nicht die Grenzen die dem Geschöpf zugänglich sind und basirte auf diesen Gottes Werten die den Menschen zugänglich sind. Dieser entschiedene Wert Marias in der Stiftung der Kirche war Ihre göttliche Mutterschaft. Im Zusammenhang der Gnade Christi Hauptes und in der Gnade der Gottesmutterschaft Marias liegt das Wesen der zugehörigkeit und der Gemeinschaft der Mutter mit Ihrem Sohn welche in der Zusammenarbeit Marias im erlösendem Werk der Kirchebaut seinen Ausdruck famd. Zu der Darstellung dieses Zusammenwirkens geht die dieszeitige Marientheologie immer deutlicher von der Reflexion ihrer „Ontologie” ab und geht in der Richtung des Egsistentialen. Das findet seinen Ausdruck in konkreten Stellungen Marias, welche von Anfang an, von Bethleem angefangen im Leben und im Werk Ihres Sohnes anwesend sind. Die neuzeitlichen Theologen, nach der Analyse der skriptualischen Zeugnisse, machen aufmerksam auf die intensiven theologalen Lebensströmungen Marias, die Sie immer mehr und mehr mit Ihren Sohn einigt und Sie immer mehr in das Geheimnis Seiner Person und Seiner Erlösungsmission einwebt. Das Geheimnis Ihrer zusammenarbeit im Werk des Kirchenbaues berucht auf Ihrem Glauben, Ihrem Gehorsam, Ihrer Hoffnung und Liebe als den wesentlichen Komponenten Ihres theologalen Lebens. Das ganze theologale Leben Marias besitzt einen charakteristischen theologalen gemeinschaftlichen Ausmass. Und so z.B. glaubte Sie und pilgerte im Glauben nicht nur Ihrer Erlösung wegen, aber auch für die Erlösung der Welt. Es wird auch Aufmerksam gemacht auf die Mutterhaftigkeit Ihres theologalen Lebens für das nachstehende Leben der Kirche. Zu Besprächungen des Zusammenwirkens Marias betont man jedoch ausdrücklich, das Sie nicht die Hauptursache der Formung und Existenz der Kirche ist - die Kirche baut und heiligt der Christus selbst. Marias Berufung zur entstehender Kirchengemeinschaft, welche abgeleitet wurde von der Bezichung Christus - Maria, hat einen dritten Ausmas der hier vorgelegten - der wichtigsten in diesem Studium - Beziehung entdeckt: Maria - Kirche. Das dritte Kapitel stellt diese Beziehung in Kategorien der Zubehörigkeit Marias als Mitglied zur Kirche vor. Die Apostelgeschichte stellt Maria als Erwartente des Pfingstages in der Gemeinschaft Jesus Jünger, was die Zubehörigkeit Marias zur Kirche im Charakter eines Mitgliedes darstellt. Bestätigen es auch verschiedene „antimariologische” Texte aus dem Evangelium, denen gemäss, Maria selig gesprochen ist nicht persönlich, aber in der Gemeinschaft und unter dem Einschluss anderer Jünger. Einen genügenden Grund dieses Ausmasses der. Beziehung Maria - Kirche sehen die zeitgenössischen Theologen in schon bestaätigter Tatsache Ihrer faktischen Erlösung. Die Grundbeziehung: Christus und das erlöste Geschöpf, das eine Bedingung jedweber Zugehörigkeit zum Mistischen Leib Christi bedarf werifiert sich im vollem Sinne im Falle Jesus Mutter. Der Stand Marias sondert sich - in dieser Hinsieht - gar nicht von dem Stande der anderen Mitglieder der Kirche. Also für Maria als auch für alle anderen Christus ist Erlöser und Haupt der Kirche. Maria ist jedoch Glied der Kirche in Ihrem Geheimnis der Gottesmutterschaft, als Mutter Jesu. Dies ist bezeichnend für dass, das die ekklesiastische Mitgliedschaft Marias eine sonderbare Mitgiedschaft ist, Sie ist das überragende Glied der Kirche. Da sind die Prämissen der zeitgenössischer Theologen zur Beweisung der besonderen überrabender Mitgliedschaft Mariens: 1. der höchste Grad der Vollkommenheit der übernatürlichen Relation zum Christus (Gottes Mutterschaft, vollkommene Heiligkeit); 2. zubehörigkeit zu den nacheinander folgenden Phasen der Heilsgeschichte: der Zeit vor Jesu Geburt, der Zeitspanne irdischen Lebens Jesu und Zeit nach Christi Himmelfahrt; chronologisch das erste Geschöpf „in Christus” lebende entsprechend der Gnade des Neuen Bundes; 3. „Glied-Typus” der Kirche - als Modell für die Kirche; 4. „Glied - Mutter der Glieder” - Marias Mutterschaft ,,in Bezug” der Kirche und „in” der Kirche; 5. die vortrefflichste Verwirklichung der allgemeinen Priesterschaft der Glaübigen. Viel Licht auf die vortreffliche Mitgliedschaft Marias in der Kirche bringt uns - nach der Meinung der zeitgenössischen Mariologen - die alleinige in ihrem Wesen Anwesenheit Marias Mutter-Jungfrau - unbefleckte Mütterlichkeit - in der Kirchgemeinschaft ebenfalls Mutter und Jungfrau. Dieses Problem wurde auch Gegenstand besonderes Interesses im Rahmen der Erhabenheitsbeweisung der ekklesiastichen Mitgledschaft Jesus Mutter. Die ausgezeichne Weise der Verwirklichung der Mutterschaft und Jungfrauschaft Marias bestimmt über ihren Typos der Mutterschaft und Jungfrauschaft der Kirche. Ausserdem Marias Anwesenheit in der Gemeinschaft der Kirche wirkt mit der Kirche zusammen, wirkt zur Vervollkommnung seiner Mutterschaft und Jungfrauschaft, in dieser Weise, dass eigentlich mit Maria und durch Maria die Kirche in vollem Sinne Mutter und Jungfrau ist. Die Musterhaftigkeit vereint sich mit der Rechenschaftsbezeugung. Die Vollkommenheit der Mitgliedschaft Marias in der Kirche erreicht ihre Fülle in der Tatsache, das die Mutter Jesus im Geheimnis Ihrer Himmelfahrt, selbst an und für sich ein Bild und zugleich der Aufang der eschatologischen Kirche geworden ist. Angesichts der Maria bestreben die Kirche und ihre Einzelglieder die Erreichung des eschatologischen ldeals. Das präsentierte Studium welches Marias Mitgliedschaft zur Kirche auf der historischen, strukturellen und funktionellen Ebene vorstellt bereicherte die bisherige theologische Betrachtung über die Beziehung Marias zur Kirche und hat Sie - wie es scheint - auch in der richtigen Perspektive aufgestellt. Bei so einer Auffasung kann schon nicht eine alternative Stellung über Typus vorkommen: Glied oder Mutter, Glied oder Typus der Kirche? Es wurden auch gewisse unbedingt notwendige Grenzen für die ekklesiale Mutterschaft Marians und Ihrer typologischen Funktion der Kirche gegenüber gezogen. Das vorgestellte Bild der katholischen Doktrin hinsichtlich der angehörigkeit Marias zur Kirche betont den besonderen Charakter dieser Zuständigkeit - die Mitgliedschaft Marias überragt in Allem eine andere Mitgliedschaft im Mistischen Leibe. Maria verdient daher in ganzer Fülle, gemäss der zeigenössischer katholischer Theologie, auf die Bennennung und Ehre „als das überagende und gänzlich besondere Glied der Kirche” (LG 53).
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    Mariologia w patrystyce łacińskiej
    Rahner, Hugo; Obrycki, K. (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1979)
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    Ks. Jan Długosz, kapłan, wielki Polak i historyk
    Związek, Jan (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1979)
    L’abbé Jean Długosz est lié par sa provenance aux terrains qui appartiennent actuellement au diocèse de Częstochowa. Son père était propriétaire des villages: Niedzielsko près de Wieluń et Lyskornia, et le roi Ladislas Jagiełło le nomma burgrave du château royal de Brzeźnica comme récompense pour l’héroisme dont il avait fait preuve dans la bataille de Grunwald (le 15.VII.1410). C’est là que naquit Jean Długosz en l’année 1415. Sa mère Béata venait de Borowno, son oncle Barthélémy était curé de la paroisse de Kłobuck. Il étudia à l’Académie de Cracovie dans les années 1428—1431. Depuis 1431 il resta à la cour de Zbigniew de Oleśnica, évêque de Cracovie; il fut ordonné prêtre en 1440. Il était curé de la paroisse de Kłobuck, chanoine des chapitres de Cracovie, Wiślica, Sandomierz, Kielce et Gniezno. L’évêque Zbigniew de Oleśnica l’envoya en missions diplomatiques à Rome et en Hongrie, tandis qu’au nom du roi il négocia avec les Chevaliers de la Croix la restitution de la Poméranie et le traité de paix en 1466. Il était éducateur des fils du roi Casimir Jagiellon, entre lesquels se trouvait saint Casimir. Il fonda les monastères de Ermites de S. Paul à Skałka de Cracovie et des Chanoines Réguliers à Kłobuck. Il écrivit plusieurs oeuvres — Banderia Prutenorum, Insygnia seu clenodia Regni Poloniae, Vita et miracula s. Stanislai, Vita b. Cunegundis, Liber beneficiorum dioecesis Cracoviensis, Annalae seu ceonicae incliti Regni Poloniae. Vers la fin de sa vie il fut nommé archevêque de Léopol. Il mourut le 19.V.1480. Le diocèse de Częstochowa organisa des célébrations a l’occasion du cinquième centenaire de sa mort à Brzeźnica, Wieluń, Kłobuck, Częstochowa et Sosnowiec.
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    Z prac zespołu „De sacra hierarchia” nad projektem kanonów „De synodo episcoporum Ecclesiae patriarchalis” i „De conventu patriarchali”
    Przekop, Edmund (Częstochowskie Wydawnictwo Archidiecezjalne "Regina Poloniae", 1979)
    Le compte-rendu du groupe „De sacra hierarchia” comprend principes qui ont été acceptés pendant les travaux de la Commission Papale pour les Problèmes du Code de la Loi Canonique en Orient dans les sections: „De synodo episcoporum Ecclesiae patriarchalis” et „De conventu patriarchali”. Puisquon na pas élaboré tous les problèmes dans ce domaine de la loi canonique, le rapport a des lacunes. Il est important de constater que les principes rédigés par le groupe „De sacra hierarchia, à laquelle apartient l’auteur de ce travail, ne sont pas encore publiés et constituent le schéma de formes nouvelles de la loi en cette matière. Après sa publication, il sera distribué à toutes les Conférences Episcopales et aux Universités Catholiques pour qu’elles écrivent leurs remarques. Les principes présentés ont été établis et acceptés par les participants au cours des discussions qui avaient lieu pendant toutes les sessions.
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